daily prophet

La Coupe de Quidditch britanique touche à sa fin. Les Hollyhead Harpies sortent vainqueurs du tournoi et la fête bat son plein. La rebellion, elle, murmure (+).
Les tensions montent alors qu'un nouveau revenant est enfermé à Azkaban pour le meurtre "accidentel" de sa fiancée.
Teatime with the Queen : Buckinghamshire est voté le county préféré des sorciers immigrants.



 

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 memento mori (anatoli)

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Âge : ⚔ vingt-et-un ans
Sang : ⚔ pur
Profession : ⚔ attrapeur pour les Montrose Magpies
Situation civile : ⚔ fiancé
Allégeance : ⚔ mangemort, marqué et fier de l'être
Particularité : ⚔ maudit par l'empathie

Inventaire
Disponibilité:
Dés de compétence:
Søren Mulciber



Søren Mulciber
crucio - sorcier
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Sujet: memento mori (anatoli)   Mer 18 Avr - 13:40

MEMENTO MORI
anatoli & søren

« département des mystères, salle de la mort – sept avril mille neuf-cent quatre-vingt seize »
Tes joues s'enflamment. Tu baisses immédiatement le visage, t'obligeant à te concentrer sur ton assiette composée de bacon et d'œufs au plat pour éviter les regards curieux de ton frère et de ta sœur. Si tu avais été plus courageux, tu aurais jeté un regard de reproche à celle qui vient de lâcher le bombarda maxima, te condamnant sur place sans te laisser une seule chance de t'enfuir mais tu es incapable de lui en vouloir – après tout, maintenant que tes aînés et toi avez quitté le Manoir, il est rare que vous soyez tous réunis en famille et Elspeth se devait de profiter de l'occasion pour annoncer tes futures fiançailles. Sorti des cachots familial le matin même après une bonne semaine d'enfermement, tu ressens la violente envie d'y retourner. Un instant, l'idée de te rebeller à nouveau, de les supplier de ne pas t'envoyer dans une lignée matriarcale te caresse l'esprit, parce que tu tiens réellement à ton nom, à ta famille, mais tu ne parviens pas à assembler les mots pour autant. Tu gardes la bouche close, perçant d'un mouvement qui se veut distrait les jaunes d'œufs dans ton assiette et étalant le liquide sous forme de sillons à l'aide de ta fourchette. Il fallait qu'elle annonce les fiançailles pourtant puisque que la chose est décidée ; mais c'est tellement rapide, tellement inattendu que tu aurais voulu qu'elle ne le fasse pas pour garder un filet d'espoir. Tout a été trop vite pour toi et si tu essaies maladroitement au départ de suivre la conversation, tu te laisses finalement sombrer dans le trouble et la confusion pour te concentrer de nouveau sur le petit déjeuner que tu n'as pourtant ni l'envie ni la force d'avaler. Tu saisis vaguement que ta sœur interroge vos parents sur la lignée choisie, qu'elle approuve l'alliance avec les Avery qui sont une famille brillante et reconnue en tant que détenteur d'horcruxe par le Lord, ce qui n'est pas rien – la-dessus tu ne peux pas la contredire – mais tu lâches rapidement la conversation, tes pensées se repositionnant sur ta terreur d'entrer dans la famille de la mariée et non l'inverse. Tu voulais garder ton patronyme, tu le veux encore. Tu n'es pas une femme, ce n'est pas à toi de perdre ton nom pour honorer l'alliance conjugale. Une fille, tes parents en ont déjà une ; s'ils en avaient voulu une deuxième, ils t'auraient abandonné et auraient refait une tentative plutôt que de t'envoyer dans ce piège vicieux équivalent à un séjour à Sainte-Mangouste pour une émasculation en bonne et due forme. Mais non, ta virilité est encore présente de façon physique parce qu'il faut bien que tu produises de futurs héritiers et c'est le pire pour toi ; la castration se fait mentalement. Tu aurais pu vivre autrement, comme on apprend à vivre avec un bras manquant ou un œil crevé, mais quel est l'intérêt de se faire passer pour un manchot ou un borgne lorsque l'organe est encore fonctionnel ? Tu relèves brusquement la tête, reculant ta chaise d'un mouvement sec avant de lever et de gagner la sortie.


« Søren ! Reviens ici immédiatement. » « Tu es devenu fou ? Depuis quand quittes-tu la table sans que je me sois levé ou sans avoir demandé la permission ? »  Tu pivotes lentement, les joues encore plus rouges qu'auparavant. Tu as réagi mécaniquement parce que tu ne supportais plus de rester assis à la table mais les regards désapprobateurs des divers membres de ta famille te font subitement prendre conscience de ton erreur. Tu mordilles tes lèvres, passe la main droite contre ta nuque pour diminuer ta gêne face au non respect du protocole. Toujours attendre que le Père se lève avant de quitter soi-même la table, à moins de s'être vu accorder la permission auparavant. « Je… » Tu ne trouve pas les mots. Tu ne veux pas revenir à la conversation d'il y a plusieurs jours, lorsque tu les suppliais de ne pas t'humilier de cette façon mais tu ne trouve aucun autre moyen de justifier ton insolence. Tu avales difficilement ta salive, t'accordant un laps de temps supplémentaire pour ordonner tes idées mais rien ne vient malgré tout. Tu restes debout et penaud, les joues cramoisie, le regard fuyant et honteux. « Tu ? » lances ton père, les yeux étincellant de colère – chose récurrente lorsqu'il t'observe, parce que tu ne manque jamais une occasion involontaire de l'humilier. Tu voudrais pourtant qu'il comprenne que tu ne le fait pas exprès, qu'il soit moins haineux envers toi et un peu plus fier à l'instar de ce qu'il ressent pour Lazare. Quand son regard se porte sur ton frère aîné, il ne reflète que l'orgueil et la satisfaction. Toi, il te reste la rage, que tu attises involontairement avec ton empathie et tes maladresses à longueur de temps. Tu songes que cela ne doit pas être évident pour lui d'ailleurs ; tu lui ressembles physiquement et il est impossible de se dire que tu n'es pas son fils tout comme Lazare. S'il pouvait avoir un doute, s'il pouvait se raccrocher à l'espoir que tu n'es qu'un bâtard sans importance, ce serait sûrement plus facile pour lui – mais avec tes yeux et tes cheveux sombres assortis à tes traits de visage hérités des Mulciber, il ne peux pas douter de sa paternité et c'est ce qui doit le faire enrager quand il t'observe. Il doit se mordre les doigts d'avoir engendré avec sa semence un ratage sentimental tel que toi. « ALORS ? » Il abats fermement son poing droit sur la table et tu rives un regard terrifié mais suppliant sur lui. Pour une fois, rien qu'une fois, tu voudrais qu'une lueur d'affection et d'intérêt perce dans ses yeux à ton égard – mais cette attente est vaine et tu constates amèrement que les seuls élans paternels que tu ressentiras sûrement au cours de ta vie viendront d'Anatoli Karkaroff. Tu clignes des yeux à cette pensée et tu relève le regard, plus assuré, pour te donner une allure convaincue. « J'ai rendez-vous au Ministère. » « Est-ce si important pour que tu te permette d'oublier la politesse et le respect que tu nous dois ? » « Je vous demande pardon. Je… J'étais concentré sur mes pensées. »  « Après les sentiments, monsieur se laisse envahir les songes ! Mais c'est parfait tout cela. Je te félicites mon garçon, tu t'améliores décidément de jour en jour et prendre de l'âge t'es sincèrement profitable. » Tu mordilles à nouveau tes lèvres, honteux de ton attitude – Ashby sait trouver les mots qu'il faut pour t'atteindre et appuyer là ou cela fait mal. « Eh bien, vas-y puisque c'est important au point d'occuper tes songes à ce stade. Tu as de la chance, je ne te punirais pas car nous avons rendez-vous dans deux jours chez les Avery pour tes fiançailles et je tiens à ce que tu sois en forme. Mais dès que l'alliance sera officielle, nous réglerons ce problème de pensées envahissantes tous les deux. » Ton visage devient exsangue et tu jettes un regard affolé sur ta mère puis de nouveau sur ton géniteur, comprenant ou il veut en venir. Tu ouvres vainement la bouche pour répondre mais il te coupe d'un mouvement de la main, rajoutant de nouvelles paroles pour te faire taire. « Sors d'ici. Vas à ton rendez-vous et ne discute pas, tu ne ferais que perdre un temps précieux de façon inutile. » Tu inclines rapidement la tête, comprenant qu'il est vain de chercher plus loin et tu tournes les talons après leur avoir souhaité une bonne journée.

Arrivé au Ministère parce que tu ne souhaite pas mentir complètement, tu te perds dans les étages et la masse de travailleurs avant de finalement échouer au niveau des jeux et sports magiques, l'endroit le plus logique ou tu es sensé te retrouver en tant que joueur de Quidditch.  Tu hésites désormais à descendre au sein de la salle de la mort pour aller voir Anatoli pusique que tu as songé à lui pour te sortir du pétrin mais la crainte de le déranger dans son travail t'en empêche pendant une bonne heure. Tu erres durant ce laps de temps dans le département qui te concerne le plus sans trop de but, en observant les affiches des équipes et les portraits des joueurs reconnus qui décorent les murs histoire de te distraire. Et puis l'affection finit par remporter le combat, envoyant ta raison au tapis pour le moment et tu quitte la section des sports pour gagner celle des mystères tout en espérant malgré tout ne pas être une gêne pour lui comme tu l'es pour Ashby – quoi qu'il y a peu de chances que ce soit le cas. Il y a quelque chose dans les émotions de Karkaroff qui te laisse comprendre qu'il est sincère avec toi – ce qui en fait quelqu'un d'unique puisque la plupart des gens ne t'adressent la parole que par intérêt pour ta lignée, quand ils ne t'ignorent pas parce que tu es bien moins intéressant et beaucoup plus inaccessible que Lazare, faute de fuir l'humanité et ses maudits sentiments. Tu mords l'intérieur de tes joues à cette idée, laissant le goût métallique du sang envahir ta bouche. Bientôt tu seras complètement seul puisque tu ne seras plus un Mulciber à part entière et tu ne saurais pas dire si tu apprécie l'idée ou si tu voudrais l'étouffer. Tu t'interroges au passage sur la façon dont Anatoli vit ses propres fiançailles, aussi récentes que les tiennes et avec une membre de la lignée d'ailleurs. Tu ne côtoies pas trop la revenante qui te sert de tante pour le moment, préférant éviter de t'attacher à des êtres n'appartenant pas à ce monde, toi qui a déjà du mal à te lier avec les vivants mais tu es assez au courant pour savoir que l'union, même impure, aura au moins l'avantage de ne pas s'étendre dans le temps compte tenue de la stérilité de Cordelia tout comme des autres revenants. Malgré tout… Tu aurais préféré que cette alliance même de pouvoir ne se fasse pas. Anatoli d'un côté et les Mulciber de l'autre, c'était très bien pour toi et tu ne sais pas si tu parviendras à jongler avec les deux sphères en même temps. Cherchant à ne plus y penser pour le moment, tu te présente au secrétariat du département des mystères dans lequel tu es arrivé en songeant et tu hèles la personne d'accueil. « Bonjour. Søren Mulciber. Est-ce qu'Anatoli Karkaroff est présent aujourd'hui ? » Elle réponds positivement, t'indiquant la salle de la mort après t'avoir proposé de le prévenir. « Oh ne vous dérangez pas. Je vous remercie mais je le trouverais seul, je connais le chemin. Passez une excellente journée. » Tu te diriges rapidement vers la salle en question, survolant les autres qui se trouvent sur ton chemin sans y prêter trop d'attention mais tu es cependant arrêté avant d'arriver dans l'annexe qui a remplacé la salle de l'amour par le voile de la mort, trônant dans la salle principale. Sans réfléchir, mécaniquement, tu te diriges vers les deux arcades et tu observes le voile blanc derrière lequel des voix s'élèvent avec curiosité. Tu songes un vague instant que tes parents seraient sûrement heureux si tu te jetais à travers. Ashby n'aurait plus de raison d'être furieux, Elspeth n'aurait plus de raison d'avoir honte. Un vague instant, tu laisses tes doigts flotter et descendre le long du voile, à quelques millimètres à peine des silhouettes humaines car un reste de crainte te retient, invoquant l'idée que si tu le touches définitivement tu pourrais être aspiré à l'intérieur. Tu es curieux mais pas nécessairement suicidaire, même en pensant à tes parents. Tu as juste envie d'être dans une bulle pour une fois et tu as l'impression d'avoir trouvé l'endroit parfait – tu es seul avec ce voile et l'attrait qu'il provoque, tu en viendrais même à comprendre l'obsession de Lazare, sans pour autant la développer à un stade aussi fort de ton côté. Tu rapproches progressivement tes doigts, intrigué à l'idée de frôler le voile pour savoir quelle sensation il offre – vu comme cela, il a l'air à mi chemin entre le brouillard et les nuages et cela te rends curieux. Juste curieux.

(c) DΛNDELION
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Âge : 43 ANS et presque autant de mensonges.
Sang : MÊLÉ, il y a bien longtemps que les Karkaroff ont cessé de voir ça comme une honte.
Profession : LANGUE DE PLOMB (salle de la mort)/CHEF DES BOURREAUX, Anatoli donne la mort sans y penser à deux fois.
Situation civile : VEUF par une fois déjà, père du portrait craché de sa défunte femme. FIANCÉ à Cordelia Mulciber, union arrangée aussi inattendue qu'inédite et surprenante. La perspective ne l'enchante pas plus que ça mais Anatoli plie l'échine par devoir (si telle est la volonté des Karkaroff, il en sera ainsi fait).
Allégeance : MARQUÉ depuis si longtemps que le tatouage fait partie de son être. Anatoli a fait la guerre une fois pour le Seigneur des Ténèbres et se lancerait dans une deuxième bataille sans même hésiter.
Particularité : Aucune.
Anatoli Karkaroff



Anatoli Karkaroff
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Sujet: Re: memento mori (anatoli)   Lun 23 Avr - 21:47

memento mori
avec Søren Mulciber

La journée de travail d’Anatoli ressemble aux centaines l’ayant précédé : qu’il soit assis derrière son bureau ou qu’il ne court aux quatre coins du département, le mystère des revenants occupe ses journées comme ses nuits. Bourreau au travail comme à la ville, l’application du Karkaroff à percer les secrets de ces créatures semble ne souffrir aucune exception. Ioana ne se prive d’ailleurs pas de le lui reprocher plus ou moins régulièrement. Qu’Anatoli soit au Ministère ou au manoir, il rumine, se pose milles questions sans réponse. La curiosité du Karkaroff est loin de n’être que professionnelle. Plus que tout, Anatoli veut prouver sa valeur. Le sorcier veut apposer son nom sur ce qui sera la plus grande découverte du siècle : Anatoli veut percer les secrets de la mort. Comprendre les mystères du Voile, déchiffrer ses murmures. La Faucheuse leur chuchote son histoire et Anatoli est tout disposé à écouter, quitte à y laisser des plumes.

L’annonce de ses fiançailles à Cordelia Mulciber l’a distrait pour quelques jours. L’alliance est aussi inattendue qu’inhabituelle, même aux yeux du Karkaroff. Anatoli aurait applaudi la finesse des négociations s’il ne s’était pas retrouvé planté au milieu de ce qui ressemblait parfois à une mascarade sans fin. Qu’importe ses envies et ses appréhensions, ce que Leonid décide fait force de loi au sein du clan venu d’ailleurs. Anatoli ne se formalise d’ailleurs pas du mensonge : il épousera Cordelia tout comme il a épousé la mère d’Ioana. Il jouera la comédie lorsqu’il le faudra, participera à sa façon à l’histoire de son nom. La mariée est peut être revenue d’entre les morts mais elle reste d’ascendance pure. L’union, de par son caractère peu usuel, est inédite et Anatoli en a bien conscience. Le chef des bourreaux ne peut d’ailleurs plus faire trois pas au Ministère sans que le nom des Mulciber ne lui soit mentionné. Alors, Anatoli fait ce qu’il fait le mieux : il joue le jeu.

Les fiançailles se passent-elles bien ? Oui.
Est-il heureux de se voir promis à la soeur de Kenneth Mulciber ? Assurément.
Peu importe que ce ne soit qu’un ramassis de mensonges.

Les bras chargés de parchemins, le langue de plomb se hâte dans les couloirs du département des mystères, croise quelques collègues en chemin qu’il salue brièvement. Le chercheur a des données à vérifier, des théories à mettre à l’épreuve. C’est à côté du voile qu’il reconnaît Søren, le jeune homme apparement très intéressé par l’objet de toutes les convoitises. Ses doigts jouent à quelques centimètres du voile, s’intéressent à ses murmures. « Je ne toucherais pas ça si j’étais toi. » L’interrompt Anatoli à demi voix, adossé contre le battant de la porte, un sourire aux lèvres. « Certains morts sont peut être revenus parmi nous mais toucher le voile reste un aller simple. » Les parchemins retrouvent l’une des tables disposées contre les murs et le sorcier passe la main sur son visage fatiguée avant de se tourner de nouveau vers le plus jeune des Mulciber. « Ravi de te voir Søren. »

Et si Anatoli s’interroge brièvement sur les raisons de la visite de Søren, plusieurs lui sautent aux yeux comme des évidences. Le Karkaroff n’est pas sans ignorer les relations tendues entre le Mulciber et ses parents. A sa façon, Anatoli s’est à bien des reprises posé aussi bien en figure d’autorité que paternelle auprès du jeune sorcier. Un pansement aussi bien pour Søren qu’Anatoli : jouer au père auprès du Mulciber est bien plus facile pour le Karkaroff qu’en être réellement un pour Ioana. Le mensonge a cela d’utile qu’il essuie les plus laides vérités. Anatoli n’est pas non plus sans ignorer les fiançailles de Søren à l’une des filles de Theodora. Les nouvelles vont vite dans les hautes sphères de la société. Autant de raisons ayant pu mener Søren jusqu'au département des mystères.

« Nous seront plus à l’aise dans mon bureau. » Tranche rapidement Anatoli. D’un geste de baguette, parchemins et encrier se mettent à léviter dans son sillage. Les quelques mètres entre les deux portes sont rapidement parcourus et c’est avec un soupir qu’Anatoli s’assied à son bureau. Si le sorcier n’a rien perdu de son habituellement flamboyance, Anatoli est fatigué. « Qu’est-ce qui te mène par ici ? » Il pourrait deviner, l’orienter vers un sujet ou vers un autre. Mais le chef des bourreaux préfère lui ouvrir la voie et le laisser se diriger dans la direction qu’il préfère. Un nouveau geste de baguette fait glisser deux verres ainsi qu’une bouteille de whisky pur feu devant eux. Les verres se remplissent de deux fonds ambrés.
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