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La Coupe de Quidditch britanique touche à sa fin. Les Hollyhead Harpies sortent vainqueurs du tournoi et la fête bat son plein. La rebellion, elle, murmure (+).
Les tensions montent alors qu'un nouveau revenant est enfermé à Azkaban pour le meurtre "accidentel" de sa fiancée.
Teatime with the Queen : Buckinghamshire est voté le county préféré des sorciers immigrants.



 

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 car ils savent trop bien ce que l'amour ici fait à ceux là qui s'aiment.

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Âge : 48 ans, même si elle en parait 17 de moins
Sang : pur
Profession : aucune
Situation civile : veuve, mariée clandestinement, fiancée à Anatoli Karkaroff, en couple avec Saga
Allégeance : neutre; elle porte la marque, souvenir de son ancienne vie
Particularité : Revenante
Cordelia Mulciber



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Sujet: car ils savent trop bien ce que l'amour ici fait à ceux là qui s'aiment.   Sam 24 Mar - 19:21


La poitrine pressée par l’urgence et l’angoisse, il faut quelques instants à Cordelia pour reconnaître le coin de rue où elle a demandé que l’un des elfes de maison des Mulciber la transporte. Toujours incapable de produire la moindre magie, elle se retrouve bien malgré elle dépendante d’autres pour se déplacer rapidement. Toujours, elle prend soin de s’assurer que personne ne la suit, ou ne l’identifie avant de bifurquer au coin de rue. C’est peu probable qu’elle croise une connaissance, mais Cordelia n’est jamais trop prudente, et en ce jour plus que jamais, quand bien même la population sorcière se fait rare dans les rues du quartier de Hackney. Les immeubles de briques rouges et les pavillons sombres bordent Warwick Grove. Les pas de l’éternelle résonnent sur le pavé tandis qu’elle se dirige en hâte au numéro 23. Elle doit s’y reprendre à trois fois pour composer correctement le code d’entrée de la porte et elle maudit l’ascendeur d’être encore (toujours) en panne. A toute hâte, elle cavale dans les escaliers jusqu’au dernier étage. C’est là que se trouve le petit appartement de Saga. Pour n’importe quel moldu, l’appartement est vide depuis des années, inoccupé et probablement squatté par les jeunes du quartier. Personne ne s’approche jamais de la porte, et d’ailleurs, personne ne pense jamais assez longtemps à cet appartement présumé abandoné et on oublie bien assez rapidement son existence même. Les mains pâles tremblent bien trop pour attraper le jeu de clefs dormant au fond de son sac, alors elle écrase un peu plus fort qu’elle ne l’aurait voulu la sonnette. Il ne faut que quelques instants pour que le battant ne pivote et dévoile le visage de Saga, insondable. Trop éprouvée, Cordelia ne remarque rien. La blonde s’efface finalement pour la laisser rentrer, et c’est à peine si retrouver le confort de l’appartement l’apaise. C’est pourtant jusqu’ici le seul endroit où elle se sente vraiment sereine et en confiance. Il n’y a réellement qu’auprès de Saga qu’elle s’autorise à retirer le masque qu’elle porte en permanence auprès de ses pairs et qu’elle se souvient qui elle est. Il lui faut quelques instants pour percuter la froideur et la distance de Saga. Alors, Cordelia s’oblige et range sa détresse dans un coin de son esprit. Les prunelles scrutent l’aimée en quête d’un indice, en attente d’un mot qui l’éclairera sur les humeurs sombres et rentrées de la potioniste. Mais rien, si ce n’est un silence obstiné et douloureux à endurer. « Je…. » Cordelia cherche ses mots et s’empêtre un peu plus dans son malaise et l’inconfort de la situation. Alors, avec des gestes volontairement lents pour grappiller quelques secondes de plus et se forger un semblant de courage, elle retire manteau et écharpe qu’elle dépose contre un dossier de chaise. C’est là qu’elle aperçoit le journal du jour, étalé sur la table basse. Dans son ventre, son estomac se tord violemment. La page ouverte annonce fièrement des fiançailles prochaines. Celle d’Anatoli Karkaroff. Et de Cordelia Mulciber. Accompagné d’un cliché du couple, côte à côte. « Saga, je… » Elle n’a pas les mots. Elle ne les a plus. Pourtant, par Merlin, en se ruant chez Saga, elle n’avait à l’esprit que l’idée de confesser l’énième trahison de sa famille, quitte à révéler certains des non-dits, des questions que jamais elles ne se sont posées et des réponses ignorées au profit de leur bonheur. L’horreur, indicible, se répand à travers ses veines. Impossible pour la brune de deviner l’ampleur de la blessure chez Saga. Le souffle bloqué dans la trachée, la panique la gagne à nouveau. Dans la cage d’os, le myocarde s’agite et cogne douloureusement. Les paupières s’affaissent un long moment, il lui faut s’assurer qu’elle ne s’effondrera pas lorsqu’elle les ouvrira à nouveau et qu’elle confrontera les billes bleues chagrin de Saga et qu’elle affrontera la déception, la colère, la tristesse au fond des rétines. L’impact est aussi dur qu’imaginé, bien plus encore. Elle s’approche de quelques pas, et la blonde recule d'autant, conservant, accentuant même, la distance qui les sépare ; un gouffre qui semble de plus en plus infranchissable. « Je… j’allais t’en parler. » Elle ne précise pas de quoi exactement. Il y aurait tant à commenter. Sa date de naissance, pour commencer ou son patronyme.
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Âge : 33 ans.
Sang : Sang-de-bourbe.
Profession : Potionniste d'une minuscule boutique de l'Allée des Embrumes.
Situation civile : Une dénommée Delia a éveillé un feu difficile à éteindre.
Allégeance : Neutre. Elle méprise la rébellion.
Particularité : Aucune.

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Saga Merrick



Saga Merrick
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Sujet: Re: car ils savent trop bien ce que l'amour ici fait à ceux là qui s'aiment.   Dim 15 Avr - 22:11


Saga a toujours cru qu'elle avait le contrôle. Sur sa vie, sur ses choix. Malgré son statut de sang, malgré une société qui aurait tout fait pour la jeter à terre. Peut-être plus même, que certains de ces purs aux vies bien tracées. Le simple fait de rester parmi les sorciers plutôt que de fuir chez les moldus, est un choix permanent, un courage dont elle se rengorge avec une fierté que d'autres pourraient trouver déplacée. Et il lui a même semblé, ces dernières semaines, qu'une touche de bonheur s'est invitée dans son cœur. Les années d'efforts ont payé, sa précieuse résilience l'a menée jusqu'à ce jour. En s'ouvrant à Cordelia, c'est tout son quotidien qui a changé, ses couleurs rendues éclatantes par une nouvelle lumière. Qu'espérer de plus, à présent, si ce n'est que l'idylle dure encore quelques temps ? Et que son univers ne s'effiloche pas. La mort d'Horace semble pourtant être le caillou qui fait tourner la roue, le désordre qui s'invite dans sa joie trop parfaite pour durer. Une part d'elle sait bien qu'elle s'en sortira, d'une manière ou d'une autre, mais craint d'y perdre plus que des larmes de dépit. Elle s'accroche à sa dignité, l'offre de Roderick l'ayant laissée amère, pleine d'une rancune qui n'a même pas de cible particulière.

Elle s'en sortira, cette fois encore, et pas seulement parce qu'il ne s'agit que d'une épreuve parmi d'autres. Elle n'est pas seule - pour la première fois depuis des années. Son souffle s'accélère de penser à elle, et le sourire benêt qu'elle croise dans le miroir lui fait secouer doucement le menton. Elle s'est reprise, l'alcool à présent mis de coté, et quand elle ouvre le journal du jour, c'est dans l'idée d'y chercher de potentielles offres d'emploi.

Le cœur manque un battement quand le regard accroche les traits familiers. Elle cligne plusieurs fois des yeux, comme pour s'assurer qu'il ne s'agit pas que d'un jeu de l'esprit, qui se plairait à imaginer l'aimée partout où l’œil se pose. Mais l'image ne change pas. Qui est cet homme à ses côtés ? Une part d'elle lui hurle de ne pas lire, de ne pas tourner la tête. Elle sait qu'il suffirait de fermer ce journal pour ne pas connaître son nom ni le sens de cette photo. Mais quelque chose l'y force ; incapable de résister, elle s'empresse de scruter l'encre. Fiançailles de Cordelia Mulciber et d'Anatoli Karkaroff. Le journal manque lui échappe des doigts, tombant sur la table basse devant elle. Sa main, tremblante, appuie contre ses lèvres tandis qu'elle se plie au dessus de cette table. Le choc chasse l'air de ses poumons, entraînant la panique ; elle ferme les yeux pour y attirer à nouveau l'oxygène, dans un sursaut. Mulciber. Fiançailles. Mulciber. Elle ne saurait dire ce qui la secoue le plus. Qui est-elle vraiment, cette femme à qui elle a offert sa confiance presque aveuglément ? Saga continue de lire l'article malgré le picotement au coin de ses yeux, qu'elle chasse de quelques battements des paupières. Cordelia, la sœur de Kenneth Mulciber. Les sourcils se froncent d'incompréhension. Sa sœur n'est-elle pas décédée près de vingt ans plus tôt ? La ligne suivante le lui confirme, quand le mot revenante la cueille au ventre. Sa douce doit lui rendre visite ce soir même, et elle se noie dans un océan de confusion et de déception. Le journal est abandonné là, la silhouette s'étale sur le sofa et les doigts appuient contre ses paupières comme pour faire disparaître ce qu'elle vient d'apprendre. C'est trop. Trop d'une seule traite, trop pour son cœur qui tambourine douloureusement contre ses côtes. Chaque information, séparée des autres, aurait déjà été difficile à entendre. L'ensemble est une tempête qui la fauche, qui la soulève et l'emporte sans plus de cérémonies.

Quand on frappe à la porte, elle s'est déjà ressaisie ou presque. Il faut qu'elle garde son sang-froid, hors de question qu'elle craque devant l'aimée. Est-ce encore l'aimée, d'ailleurs ? La tante de Roderick, voilà ce qu'elle est en vérité ; une mangemort marquée et l'épouse d'un Karkaroff. Elle s'habille d'un masque froid, rien de difficile pour la née-moldue. Ouvrant la porte sans desserrer les lèvres, elle laisse entrer la belle. Qu'elle aimerait oublier ses découvertes, se priver de sa mémoire par quelque sortilège d'oubliettes ; mais ne serait-ce pas vain, sachant que les Mulciber ont pour manie d'apparaître dans les journaux ? D'ordinaire, elle l'entourerait déjà de ses bras, et sans doute qu'elle remarquerait la panique dans les yeux de Delia. Au lieu de cela, elle s'écarte, croisant les bras. Comment aborder les choses sans qu'à nouveau sa plaie ne s'ouvre, béante ?

Finalement, elle n'a pas à expliquer. Elle lit dans les yeux de la brune la compréhension, puis la fuite. La peur, peut-être, d'être confrontée à ses mensonges par omission ? Saga la fixe sans sourciller, toute entière figée. Elle bataille avec la douleur, pour formuler des mots. Elle repousse la colère dans un coin de son esprit, lui préférant le calme froid. Delia avance et elle recule, décidée à ne pas se laisser amadouer, par les gestes ou même le parfum de la belle. « Qui es-tu vraiment ? Tout ça, c'était qu'un jeu, une sauterie visant à m'humilier ? » Comme ton neveu. Les lèvres ont finalement craché la peur la plus vivace, s'en servant comme d'une arme maigrement affûtée. « De quoi comptais-tu me parler ? De ton patronyme, de tes fiançailles ? Ou du fait que tu sois morte il y a dix sept ans ? » Un rire nerveux lui échappe, claquant sèchement dans l'air. « Merlin, je crois rêver. » Ses doigts se lèvent pour appuyer contre sa tempe, dans l'espoir de chasser un début de migraine.  « Je me doutais bien que tu étais une sang-pur, continue-t-elle d'une voix vacillante. Oui, c'était stupide de ma part de ne pas te repousser, mais... J'y ai cru, comme une foutue gamine. » Nouveau rire, mais celui-ci se change bien vite en un sanglot qu'elle fait aussitôt taire, son poing fermé appuyant contre ses lèvres. Elle la fixe au dessus de sa main, l’œil plus désolé qu'accusateur. Plus que le mensonge et la dissimulation, que toutes deux ont entretenu avec la minutie des amants secrets, c'est le gouffre entre elles qui lui pèse. Cette femme, qu'elle chérit déjà comme elle ne l'a jamais fait auparavant, est à la fois morte et vivante ; à la fois proche et lointaine. Elle appartient à un autre monde, de toutes les manières possibles. L'illusion du pont qui les liait semble voler en éclats sous les yeux de Saga.

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Sujet: Re: car ils savent trop bien ce que l'amour ici fait à ceux là qui s'aiment.   Lun 30 Avr - 16:19


La blessure est si profonde qu’elle entache le moindre détail du visage d’ordinaire calme et placide de Cordelia. Au prix d’un effort incroyable, elle parvient pourtant à masquer sa douleur et retrouve le masque implacable qu’elle dont elle se sert le plus souvent pour masquer ses pensées et oublier ses sentiments. Déjà, la situation lui échappe sans qu’elle ne comprenne d’où partent les hostilités. Mais c’est là, dans l’air, en elles, elles y pataugent et s’y noient.

« Qui es-tu vraiment ?
- Je…
- Tout ça, c'était qu'un jeu, une sauterie visant à m'humilier ?
- Pardon ?, elle feule, atteinte profondément par l’attaque injuste et gratuite.

L’horreur de la situation leur explose enfin à la figure, d’une violence incroyable. Le sang lui bat violemment les temps tandis qu’elle renvoie à Saga un regard acéré. Ses yeux disent : vas-y, vas jusqu’au bout de ta pensée. Et surtout, n’oublie rien. Parce que moi, je n’oublierai pas. Les lèvres pincées, c’est au tour de la Mulciber de creuser l’abysse qui les éloigne l’une de l’autre. Mais, la blonde surenchérit, et reprend l’offensive. Et, au fur et à mesure que l’autre dégueule sa peur et sa peine, Cordelia se ferme peu à peu. La violence lui coule dessus, elle sait y faire, Delia, elle a connu et pire que les mots acerbes de Saga. Alors, pourquoi est-ce cette fois si douloureux dans l’esprit et le corps ? Mais jamais, elle ne détourne les billes. Au contraire, elle s’ancre dans celles de la blonde, qui crache toujours sa bile. Et quand enfin le silence se fait, la brune ne lui laisse pas le temps du répit. L’ambiance, déjà lourde dans cet appartement bien trop petit pour abriter à la fois leur passion et leur déchirement, s’épaissie encore plus. « Tu as fini ?  Au ton presque hystérique de Saga s’oppose celui calme et mesuré de Cordelia. Le défi qui danse dans les rétines, elle l’invite à déclencher véritablement les hostilités. Car c’est de cela qu’il s’agit, non ?  Je ne sais pas ce que tu t’imagines, Saga. Mais si tu vis mieux de croire que toute la responsabilité me revient, parfait. J’ai encaissé plus dur encore. J’ai jamais rien dit ? Tu n’as jamais rien demandé… pas même quand tu as vu la marque. Je n’ai pas été honnête ? Tu n’as pas été courageuse pour poser les questions. Et pourtant, tu avais toutes les armes, toutes les cartes en ta possession. On partage les tords. Du reste, si tu connais une bonne façon d’annoncer à quelqu’un que tu as été assassinée dix-sept ans auparavant et que Merlin seul sait comment, tu es revenue à la vie, ne te retiens plus. J’ai vraiment hâte de l’entendre. » L’âme écharpée, Cordelia plonge dans un silence buté, et les bras croisés contre la poitrine, elle trie avec minutie les pensées qui butent les unes contre les autres. Dans la cage d’os, le myocarde s’agite et son souffle se fait un peu court. Parce que c’est la fin, n’est-ce pas ? C’est ce que la distance entre Saga et elle lui hurle, en tout cas. Elle n’a pas le droit à sa part de bonheur, faut-il croire. Et elle aussi, elle y a cru, elle a espéré, sincèrement, secrètement, que cette femme pourrait pour en être, le fabriquer et le créer chaque jour, son bonheur. Et parce que c’est une sang-pur, parce que c’est une Mulicber, Cordelia sait où appuyer pour faire mal, et si d’ordinaire elle se serait retenue, l’orgueil terriblement poinçonné, elle ajoute. « Tu n’étais aussi catégorique au sujet de mes secrets quand tu m’as mise dans ton lit. » Elle ne laisse pas le temps de la réplique. « Je venais t’annoncer mon mariage. Mon second mariage. Avec mon troisième fiancé. Je venais avec l’envie d’être honnête. Et la certitude que je pourrais l’être. » Elle ne formule pas ouvertement le doute, le sous-entendu le soulève bien plus certainement que n’importe quel mot. « Mais je ne voudrais pas t’humilier d’avantage, elle ajoute la voix un peu plus sourde, un peu moins déterminée et la conviction qu’il n’y a rien à rattraper au cœur. » Elle a juste la force d’attraper ses vêtements et de les enfiler. Après ça, il lui faudra s’éloigner le plus possible de ces quatre murs qu’elle chérit tant pour s’autoriser le chagrin.

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Sujet: Re: car ils savent trop bien ce que l'amour ici fait à ceux là qui s'aiment.   

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