daily prophet

La Coupe de Quidditch britanique touche à sa fin. Les Hollyhead Harpies sortent vainqueurs du tournoi et la fête bat son plein. La rebellion, elle, murmure (+).
Les tensions montent alors qu'un nouveau revenant est enfermé à Azkaban pour le meurtre "accidentel" de sa fiancée.
Teatime with the Queen : Buckinghamshire est voté le county préféré des sorciers immigrants.



 

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 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut

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Avatar : Michelle Dockery
Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   Obuh
Âge : 34 ans
Sang : Mêlé. Ma mère était une née moldue et les Borgin ne sont pas aussi « irréprochables » qu’ils le souhaiteraient, enfin, c’est surtout pour se faire bien voir. Ce n’est pas tellement un mal de mon point du vue, même si ce n’est clairement pas mon genre de m’étendre sur le sujet. Trop de consanguinité, on sait tous que c’est très mauvais. Il n’y a pas à chercher très loin pour avoir un aperçu du concept de déliquescence inhérent au manque de sang neuf Mon petit adage personnel : « Tous cousins germains, tous crétins, par Merlin. »
Profession : Je suis une fidèle employée de Borgin & Burkes depuis la moitié de ma vie. Mes deux oncles sont officiellement les patrons, néanmoins, les clients récurants savent très bien qu’il vaut mieux s’adresser à moi directement si on veut en avoir pour son argent. Ce qu’en revanche on ne devine pas, c’est que les comptes sont gérés par mes soins exclusivement, et que l’accès au coffre ne peut se faire sans mon approbation, ma clé, ma présence. Il faut bien ça pour que ça tourne dans cette baraque.
Situation civile : Je ne suis pas une femme à marier. Si on exclus mon sang et mon nom qui n’ont rien de très glorieux à première vue, j’ai déjà des boulets accroché aux pieds. Ils commencent à avoir conscience que si je décide de les quitter pour faire ma vie ailleurs, ils ne feront que s’enfoncer d’avantage dans l’auto destruction. Je tiens la bride fermement et cela me convient très bien. Soyons franc, même si je peux me montrer charmante à mes heures, je ne suis pas quelqu’un de très sentimental. Proposez-moi mieux que ce que j’ai et peux-être que j’envisagerais de vous suivre.
Allégeance : Pour ce qui est du contexte global, je fais avec ce qu’il a sous la main. Je ne suis ni une rebelle, ni convaincue par l’idéologie de cette société. Mon allégeance va surtout à la logique, aux arts sombres, au travail, à ma famille d’imbéciles, et mon grand père, Belarphon Borgin.
Particularité : Rien de spécial si ce n'est un nom à coucher dehors et des yeux vairons.
Infamy Borgin



Infamy Borgin
imperio - sorcier
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Sujet: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 0:16

Infamy Borgin
Ma déchéance sera mon salut

Carte d'identité

Nom : Borgin. Oui, de ces gens idiots et immondes qui subsistent encore et toujours quelque soit le régime.

Prénom :  Infamy, et Enigma. Laissez moi donc expliquer ce double nom. Enigma, tel fût le prénom qu’on me donna à ma naissance et dont on fit couramment usage durant 13 ans. Puis, on commença par m’appeler plus couramment Infamy, mon grand père pour commencer, mon oncle et ma tante, mes cousins, et la chaine perdura jusqu’à ce que ce patronyme certes peu reluisant ne devienne officiel, et remplace Enigma. Certains savent mais feignent d’ignorer, peu m’importe. Qu’on m’enterre avec et des idiots se pencheront encore dessus dans 3 siècles. Voici ma gloire assurée pour une presque inconnue qui n’aura rien fait de fabuleux dans sa vie.

Date et lieu de naissance : Je suis née en 1961, le 24 mars, à Londres. Il n’y a pas vraiment matière à se pencher beaucoup plus dessus.

Nature du sang : Oui, je suis une « impure », très directement par ma mère, une née moldue. Je laisse le soin de s’informer des détails à d’autres, ils sont bien plus créatifs que moi sur le sujet. Il y a matière apparement à fournir un flot d’insultes plus ou moins originales. Du coté Borgin, même s’ils ne s’épanchent pas sur le sujet, le sang est loin d’être aussi intact qu’ils ont pu le prétendre. Cela fait depuis bien des générations que les métissages successifs ont tinté leur renom d’une souillure loin d’être franchement méconnue.

Statut civil : Célibataire, et bien partie pour le rester si vous voulez mon avis. Pas que ça m’inquiète des masses cela dit, un mari ou autre ne serait qu’un boulet de plus à me trimbaler. Je crois au business, à la culture et l’apprentissage, plus vraiment à l’attachement. C’est l’apanage des filles de haut rang que de se marier pour perpétuer la lignée. Mais moi je ne suis là que pour être un loup, à la solde de ma si chère famille d’abrutis consanguins. Croyez le ou non, mais ils me gardent jalousement. Si ce n’est pas ironique…

Profession : Vous connaissez surement cette enseigne si bien connu des sorciers plus que férus de magie noire, et ce lorsque ce n’était pas encore enseigné à l’école. C’est toujours aussi sale, sombre et encombré mais on y trouve toujours ce que le l’on cherche néanmoins. C’est même devenue sans surprise plus que fréquentable et trop fréquenté. Et vous connaissez aussi le taulier ? Ce filou idiot et graisseux de Borgin. Je ne vous parle pas de son associé, mon oncle également, qui fait juste office de décoration quand il est là… Et puis, il y a moi, qui travaille vraiment et qui sait ce qui rentre et ce qui sort des caisses. Je connais aussi chaque article, on peut même dire que je m’y connais très bien, simple curiosité qui va au delà de l’apprentissage standard de Poudlard. Sur les artéfacts j’en connais un sacré rayon. En tout cas, c’est utile dans cette… baraque poussiéreuse. Je suis pas femme de ménage, encore moins un elfe de maison… alors je vous emmerde si vous êtes allergique. Nous ne sommes pas toujours très commerçant, mais nous sommes clairement une institution, quitte à devoir écraser les voisins qui sont arrivés un peu trop tard sur le marché.

Particularité : Regardez moi juste une seconde, je sais que vous avez déjà remarqué ma particularité. Voila, dans les yeux, ne faites pas les timides, ça m’irrite. J’ai les yeux vairons, un oeil brun, sombre, un oeil gris, clair. Cela me confère un air étrange à ce qu’il paraît. On peine d’ailleurs à me regarder dans le yeux. Je vis avec depuis toujours, je ne fais plus vraiment attention, sauf lorsqu’un inconnu me fixe et je me rappelle alors que ça dérange les néophytes. Pour ceux qui connaissent un peu l’affaire, je ne suis définitivement pas difficile à reconnaitre. Je pourrais tricher avec des lunettes tintés, mais ça m’est égal, l’avis des gens.

Ancienne maison/école : Mon père était Serpentard et ma mère Poufsouffle, pourtant aucun des deux n’a su me transmettre de ses gènes sur ce point là. Du temps de ma prime jeunesse, j’appartenais à la maison de Serdaigle. Je ne tire ni fierté, ni honte de ma maison, pas plus que je n’éprouve de sentiment d’appartenance à quelque caste que ce soi. Des amis, plus vraiment, des connaissances de cette époque ? On ne se croise et on s’ignore généralement.

Patronus : Accipiter nisus, un rapace, plus vulgairement classifié comme épervier. Je tiens à cette précision.

Epouvantard : Je rêve d’un monde depuis les débuts de la guerre, plutôt devrais-je dire qu’il s’agit d’un cauchemar, où plus rien n’existe, pas même la magie, pas même la vie, et je erre dans ces limbes ravagés par une tempête de cendres brûlantes et glacés perpétuelle, prisonnière de ruines volubiles pour l’éternité, prostrée dans une solitude qui n’a d’existence que dans un tel lieu. Un endroit pareil n’est qu’une ecchymose dans mon subconscient, qui pourrait m’engloutir. Sombrer, encore et encore sans fin… Sans même une main méprisé pour me retenir.

Baguette Magique : 36,2 en ébène, raide et sans fioritures, si ce n’est l’extrémité en metal lisse et froid.

Je jure solennellement de faire usage du sortilège
Imperio

Questions générales

Que pensez vous des revenants ? Les morts ont toujours été là, n’est-ce pas ? Seulement, on ne pouvait que se prosterner devant leur silence et leur absence. A présent, qu’importe fatalement ce qu’ils auraient à dire, puisqu’ils ne peuvent pervertir que ceux pour lesquels ils ont compté un jour, et ce n’est pas vraiment mon cas, je suppose. Cela fait bien trop longtemps. J’ai essayé d’envisager le retour de mes parents… Je choisi bien mes mots. Ca m’a fait juste perdre une demi heure de sommeil. Comment garder une attache avec des personnes dont les souvenirs commencent à s’estomper ? La guerre nous a séparé bien avant la mort. Qu’auraient-ils de toute façon à me raconter que je ne sache déjà à leur sujet ?

Oui, il m’est aussi arrivé d’avoir une pensée pour une autre personne, que j’estime bafoué par ce que je pense sincèrement être des mensonges colportés par sa famille. Je n’en dirais pas plus, si cela lui avait tant pesé, n’aurait-il pas pu venir les hanter après tout. Cela fait trop peu de temps pour que je puisse apporter une réponse véritablement digne d’intérêt, et parfaitement objective. La magie noire entourant ce retour éveille chez moi une certaine curiosité, plutôt pragmatique.  

Que pensez-vous du régime de Voldemort ? C’est une dictature comme une autre. Je vis en son sein et m’en nourri. On ne crache dans sa propre soupe, même s’il elle est infecte, car après tout, sinon, on crève de faim et rien n’avance. N’allez pas croire pour autant que j’estime que c’est là une bonne chose, que tout est beau, que tout est bien, et que les valeurs archaïques que véhiculent ses plus farouches partisans ont leur bien fondé… Tout ça ne sont que des foutaises mises en place pour que des oligarchies survivent tant bien que mal. Ca aura une fin, tout a une fin, même lorsqu’elle revient indéfiniment. Je ne sais pas ce que je crois, mais je pense que si je ne le vois pas de mes propres yeux d’autres le verront, la chute. La chute arrive toujours, pour le bien comme pour le mal, en supposant que ce concept existe vraiment hors des caboches « civilisés » et des opinions très subjectives.

Que pensez-vous des rumeurs concernant le renouveau de l'Ordre ? On pourrait penser que je me sens concernée par ces propos en sourdine en tant que fille de deux défunts membres de l’Ordre, mais c’est un tord. Je ne crois pas que mes parents soient des héros, la preuve, je n’ai récolté de leurs actions qu’un prénom infâme. J’ai parfois écouté d’une oreille ceux qui voyaient en mes parents des gens biens, des sacrifiés sur l’hôtel de la guerre. Moi aussi j’ai été sacrifié finalement, je n’ai jamais chercher pourtant à me faire plaindre de la sorte par des idéalistes. Ce n’est pas faute de m’avoir approché durant mes premières années hors de Poudlard, mais ils ne m’ont jamais converti pour tout vous dire. Depuis, conscient de l’aberration de leur entreprise, ils ont laissé tombé depuis des années.

Aujourd’hui, je ne sais rien de leurs agissements, et cela me convient. Cela dit, toutes les rumeurs ont une part de vérité à mon sens, et il semble logique que sous un tel joug une forme de rébellion naisse. Je me laisse aller à théoriser sur le sujet, cela me suffit largement. Retournez la table d’échec, les blancs deviendront noirs, et inversement. Pour s’accrocher ainsi, je vois une dose de fanatisme, il faut au moins cela pour risquer sa vie de la sorte. Les tactiques des mangemorts ont eu raison d’une civilisation, alors, en se collant au modèle, je suppose qu’il y a un l’espoir d’un renversement. Les abords changeront, la masse suivra le mouvement. Je n’ai qu’une chose à conseiller, creusez des tombes, car c’est tout ce qu’il reste, des sépultures, à chaque fois que le vent tourne.


Le moldu derrière l'écran

Pseudo/prénom :  Grillade.Tata !(Le point est TRES important)

Âge :  27 ans

Pays : Un hexagone très franchouillard

Fréquence de connexion  : Aléatoire, mais régulier

Avatar :  Michelle Dockery

Où avez-vous connu le forum ? : Je voyageais avec un Black un jour, puis il m'a dit qu'il existait un monde magique... J'étais sur le UK... Et je me suis faite alpaguer, séquestrer... et vous connaissez la suite.

Le mot de la fin :  A la chasse aux crabap... heu... J'aime les moustaches ?

Crédits : Photoshop est mon fidèle compagnon. Et un petit plus pour http://chrisevansrph.tumblr.com pour la base du gif dans les infos. 


Dernière édition par Infamy Borgin le Lun 11 Déc - 21:17, édité 5 fois
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Sang : Mêlé. Ma mère était une née moldue et les Borgin ne sont pas aussi « irréprochables » qu’ils le souhaiteraient, enfin, c’est surtout pour se faire bien voir. Ce n’est pas tellement un mal de mon point du vue, même si ce n’est clairement pas mon genre de m’étendre sur le sujet. Trop de consanguinité, on sait tous que c’est très mauvais. Il n’y a pas à chercher très loin pour avoir un aperçu du concept de déliquescence inhérent au manque de sang neuf Mon petit adage personnel : « Tous cousins germains, tous crétins, par Merlin. »
Profession : Je suis une fidèle employée de Borgin & Burkes depuis la moitié de ma vie. Mes deux oncles sont officiellement les patrons, néanmoins, les clients récurants savent très bien qu’il vaut mieux s’adresser à moi directement si on veut en avoir pour son argent. Ce qu’en revanche on ne devine pas, c’est que les comptes sont gérés par mes soins exclusivement, et que l’accès au coffre ne peut se faire sans mon approbation, ma clé, ma présence. Il faut bien ça pour que ça tourne dans cette baraque.
Situation civile : Je ne suis pas une femme à marier. Si on exclus mon sang et mon nom qui n’ont rien de très glorieux à première vue, j’ai déjà des boulets accroché aux pieds. Ils commencent à avoir conscience que si je décide de les quitter pour faire ma vie ailleurs, ils ne feront que s’enfoncer d’avantage dans l’auto destruction. Je tiens la bride fermement et cela me convient très bien. Soyons franc, même si je peux me montrer charmante à mes heures, je ne suis pas quelqu’un de très sentimental. Proposez-moi mieux que ce que j’ai et peux-être que j’envisagerais de vous suivre.
Allégeance : Pour ce qui est du contexte global, je fais avec ce qu’il a sous la main. Je ne suis ni une rebelle, ni convaincue par l’idéologie de cette société. Mon allégeance va surtout à la logique, aux arts sombres, au travail, à ma famille d’imbéciles, et mon grand père, Belarphon Borgin.
Particularité : Rien de spécial si ce n'est un nom à coucher dehors et des yeux vairons.
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 0:17

Cistem Aperio
citation de votre choix citation de votre choix citation de votre choix

Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   B2r7

Le vieux Belarphon Borgin avait eu son heure de gloire. Une gloire procréatrice, il n’était pas aussi impotent l’énergumène du temps de sa jeunesse. Chrylisde,  Malcendre (mon père), Scynope, et le petit dernier, mon cher oncle Moevius, voila qui composaient la fratrie à l’origine. Le vieux avait brillé sur la quantité, sur la qualité en revanche, c’était une toute autre histoire. Je n’ai jamais eu besoin de m’exprimer sur cette engeance que nous devons supporter lui et moi. Les mots sont… inutiles entre nous, de même que les regards.

Il y a de ces évidences qui nous frappent à intervalles régulières, d’une commune mesure, que nous communions naturellement.


D’ordinaire, il n’y en n’a que pour les grandes affaires de coeur, l’attachement intense des parents et des enfants, et les haines viscérales qui naissent dès qu’un autre vient saborder les deux premiers. Et on oublie trop facilement qu’il existe aussi des relations en marge de ces effusions. Elles ne sont pas moins importantes, seulement plus difficile à définir. C’est cela qui nous uni le vieux Borgin et moi-même. Ca vous parait étrange de la part de quelqu’un qui m’a affublé de ce prénom, officiellement ? A vrai dire, plus rien ne m’étonne de sa part. Nous avons nos accords, tacites.

Dans ce monde, mon « grand père » est certainement la personne dont je suis la plus proche. Nous partageons le même fardeau, et nous sommes ce liant qui empêche cette famille de se déliter dans sa propre bêtise congénitale. Je pourrais, cela s’expliquerait facilement au regard de mon histoire, mais non. Je ne me sens nullement déchirée entre affection et haine, le lien est plus fin et extensible que cela, « simbiotiquement » désagréable et indifféremment nécessaire. Je ne l’apprécie pas plus qu’il ne m’apprécie, ou peut-être que si, finalement. Je vois qu’il trahi un sentiments de satisfaction lorsqu’il jauge la personne que je donne à voir, autant que la personne enfouie derrière.

Nous nous ressemblons, pas seulement dans la réciprocité de nos sentiments respectifs, tintés d’une méfiance confiante. La confiance est bien loin d’être aveugle, au contraire, elle sait se nicher exactement là où il faut. Pour nous, du moins, qui faisons passer la logique avant les sentiments. Certes, aujourd’hui, il ressemble à un vieux sarment de vigne, noueux et rachitique, avec une peu flasque blanchâtre, atrocement ridée, collé à même les os. Malgré tout, je n’ai pas de peine à me retrouver dans ses yeux vairons eux aussi, dans sa structure faciale. Nos squelettes sont taillés dans la même pierre, raide, inébranlable et biseauté. S’il était né femme, il aurait été moi. Si j’avais été homme, j’aurais été lui. Voilà une réalité pratiquement accablante dont mes parents se sont alarmés de leur vivant.

Je suis donc… Une Borgin, plus que quiconque dans cette famille, cela se voit, cela se sent,
cela se sait.


Pourtant, il aurait dû être autrement à ma naissance, entre autre. Mon père avait bien pris soin de couper les ponts avec ce clan maudit qui se trainait une réputation outrageante. Quoi de plus normal dans ce monde baigné par de sages lumières que ces parias furent relégués dans un coin sombre et humide. Dans les années 60 il était plus que mal vu de toucher aux arts occultes, et d’avantage d’en faire commerce. Borgin et Burkes, comme le sont les rejetons de ma tante Chryslide, voila des noms dont on préférait éviter le contact en plein jour.

Il existait déjà ces familles de « sang pur » dont la grandeur camouflait les outrages, certainement pas des Borgin, plus franc du collier et bien moins brillants. Même ces gens là, dont nous étions pourtant les égaux à bien des égards, préféraient nous ignorer à la face du monde, pour mieux nous renflouer les caisses par derrière. Mon père avait fuit cela, préférant une née moldue sans grandes attaches si ce n’était un père déjà sur le déclin. Durant les 11 premières années de ma vie, je n’entendis qu’à peine parler de ces « autres » dégoutants. Le sujet était pour ainsi dire tabous. Pourtant, déjà, je comprenais que mes seuls défauts venaient de cette trop grande ressemblance avec mon aïeul.

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Comme tous petits sorciers, j’entrais à Poudlard, en septembre 1972, peu après le début de la guerre. Je ne m’inquiétais guère de ces choses là à l’époque, même si mes parents avaient amorcé précocement un virage périlleux qui m’éloignaient déjà d’eux. Ils étaient bien occupés, bien préoccupés, par l’Ordre plus que par mon existence, comme s’ils avaient le temps, après, de me voir grandir. Si j’avais seulement fait attention à leurs dires sans doute me serais-je rendue compte que mon père, en tant que Borgin renégat, était une cible à atteindre en priorité.

Pendant ce temps, j’étudiais avec mes petits camarades, avec une certaine insouciance. Cette première année fut pour moi l’occasion de rencontrer mes cousins… Et, si on excluait le fait qu’ils étaient passablement idiots et infréquentables, je pris goût à travers eux à en apprendre d’avantage sur d’où je venais. Ce n’était pas si facile, j’étais cependant téméraire et naïve en ce temps. Suffisamment en tout cas pour accepter sans broncher les mauvais tours qu’ils me jouèrent plus d’une fois, échouant rapidement avec régularité sur le banc des accusés.

Puis, arriva ce qui devait fatalement arriver dans ces temps troublés. Mes parents sont mort, assassinés… Si aujourd’hui, je ne sourcille même pas, j’étais sous le choc, tellement abasourdie que je peinais à accepter cette vérité durant plusieurs semaines. Néanmoins, je dû rapidement me rendre à l’évidence, ce deuil n’était pas l’unique épreuve qu’on m’imposa. La seule famille qui me restait et qui me réclamait à travers les paroles plus que convaincantes d’un vieil homme pratiquement inconnu au bataillon, s’avéra l’emporter sur les débats. Oh oui, on avait d’autres chats à fouetter avec la monté en puissance du Seigneur des Ténèbres. Ainsi, j’échouais sous le toit peu accueillant de Belarphon Borgin…

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Je découvrais un autre monde, austère, nauséabond, profondément réfractaire à mon existence. C’était parfaitement brutal, une claque, que dis-je un sortilège doloris qui manqua de me faire perdre la raison. Oui, j’ai pleuré, énormément, puis je me suis renfermée d’un seul coup, m’accrochant à cette extrémité comme une planche de salut. Et je peux dire que cela m’a détruite, du moins, cela a détruit l’enfant que j’étais, inutile et geignard.

Mes parents m’avaient abandonné,
soumise à leur châtiment,
pour cette guerre…
Je l’ai détesté, rejeté, nié,
cette guerre, et eux avec.


Ce surnom pleuvait, Infamy par-ci, Infamy par-là, me gelant de l’intérieur, me faisant oublier qui j’avais été. Aussi désobligeant, aussi avilissant que cela fut, eux, ils étaient encore là, tel un rempart, tel un étaux, écrasants mais bien plus solides que ceux que j’avais cru connaitre. Non, je ne les détestais pas pour tout ça, ils étaient aussi ignares et stupides qu’ils le sont à présent, mais je pouvais comprendre, bien mieux que je ne pourrais jamais comprendre mes géniteurs. Je ressentais un mépris comparable, un ressentiment muet. Et surtout, ils avaient éradiqué chez une gamine cette peur et en même temps cet espoir que l’avenir incertain accueillait à bras ouvert.

Lorsque cette orage est passé, je me suis enfin posée cette question cruciale : pourquoi m’avoir recueilli ? Je ne connaissais alors pas les idées, l’inquiétude qui habitait l’esprit de mon « grand père ».

A présent, cela me semble si limpide…
Il avait besoin de moi,
autant que j’avais besoin de lui,
sans pourtant devoir le montrer.


Comme je vous l’ai expliqué précédemment, nous partageons une certaine vision du monde, une certaine affection obsessionnelle pour le petit commerce, la culture dans le domaine de la magie noire, un pragmatisme partiellement dénué de sentiments, et la survis de notre espèce. Il plaça un espoir désespéré, sa dernière carte sur le tapis en me réclament avec insistance à ses cotés.

On en peut pas dire qu’il fut tendre, il était le premier à me maltraiter, sans doute déçu par l’enfant apeuré de la première année. Puis, alors que je m’appropriais ma nouvelle vie, mon nouveau surnom, ma nouvelle famille, ce que je devais faire, ce que je devais être n’était plus un problème. Ma clairvoyance était un don. Un poste m’incombait lorsque j’étais encore élève Poudlard. J’avais endossé naturellement ce rôle lors de ma première année, rappelez-vous. De mes 14 ans à mes 17 ans, je suis devenue plus officiellement l’acolyte, plus justement le bouc émissaire. Je prenais systématiquement les punitions à la place des mes cousins et cousines.

Je m’occupais également de faire leurs devoirs. J’envisageais même leurs petites manigances, leurs désirs avant qu’ils ne les formulent. J’ai tout fait, j’ai perdu tout ce temps, tous mes amis, mais ça n’allait pas si mal. Mon niveau n’était pas spécialement mauvais pour le peu de temps que j’avais à lui accorder. Je n’ai jamais été une grande fanatique de la pratique, mais si je devais estimer mes capacités, elles sont loin d’être aussi moyenne que j’ai pu le montrer. De la stratégie, toujours.

Il ne se passait pas une semaine sans que je sois punie. Certains professeurs n’étaient pas totalement dupes, sans pouvoir pourtant le prouver, ce qui m’épargna l’exclusion définitive à force de récidive. Le vieux Borgin avait toujours un dialogue prédéfini pour me sauver et se sauver. C’était une période si trouble, si dangereuse, qui pouvait se préoccuper véritablement des affaires de quelques adolescents turbulents ?

Parmi mes camarades de Serdaigle, certains essayèrent les premiers temps de me soutenir, de m’aider à sortir de cette spirale infernale. Pour la majorité d’entre eux, mon comportement ne pouvait être considéré que comme de la folie pure, faisant suite au décès de mes parents. Je les rejetais, ils revenaient, ainsi de suite pendant des mois. J’avais adopté cette habitude contre nature de prendre mes repas à la table des Serpentard, avec les renégats mal famés.Beaucoup vous dirons que je n’étais qu’une rebelle en pleine crise d’adolescence. La vérité est plus prosaïque. J’entrais dans l’âge adulte de façon précoce, j’entrevoyais une réalité alternative, ce langage secret, et les bancs d’école n’était qu’une formalité. Je faisais ça par devoir, pas pour une illusoire rebellions contre le système. Et avec cela, doucement, commença à s’établir avec le vieux Borgin une relation que je qualifierais presque de professionnelle.

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Je suis sortie diplômée de Poudlard en 1979. La guerre était plus qu’ouverte lorsque je prenais mon poste à la boutique avec mes oncles. Tout en le sachant, puisqu’il était impossible de l’ignorer, je n’ai jamais prétendu m’intéresser aux combats ou la tournure des évènements dramatiques qui se jouaient hors de ces murs. Je ne me consacrais pratiquement qu’à l’apprentissage parallèle des arts noirs avec ce qui était à ma disposition. Il n’y avait qu’à tendre les mains pour avoir de la matière. Le reste du temps, je m’occupais des comptes qui n’étaient pas au beau fixe dans ce contexte chaotique.

Mon indifférence face à la situation du pays surprenait ceux qui n’appartenaient pas à la sphère familiale. On s’attendait sans doute à ce que ma fraiche majorité rime avec indépendance, que je prenne la place de mes défunts parents sur le champ de bataille pour les venger. Il n’en fut rien car je voulais tout simplement pas plus en entendre parler que quelques années auparavant. La guerre, quelle guerre ? La distance s’imposait entre elle et moi. Je la refusais encore comme l’abomination qu’elle est à mes yeux, j’aurais pu blâmer les deux camps, mais je préférais renier ce concept absurde. Les humains sont absurdes pour la plupart. Je voulais vivre, pas ressasser…

Mon grand père avait choisi son camp depuis un certain temps, sachant pertinemment que certaines retombées valaient mieux que d’autres. Ceux qui sont prêt à tout sont plus que susceptibles de vaincre. Il se gardera de le dire, mais le seigneur des ténèbres n’était pas un inconnu pour lui, même si leur relation de patron à employé remontait déjà à quelques années et reste assez méconnue. Je suppose que cela eut un aussi son impact dans son choix, même s’il avait pas mal à y gagner. Il divisa ses rangs avec justesse pour placer ses pièces exactement là où il fallait.

D’un coté, il sacrifiait des brebis nécessaires et,
de l’autre, il se débarrassait sans en avoir l’air
de ceux qu’il estimait de toute façon irrécupérables.


Je ne lui donne pas vraiment tord, sa logique était impeccable et je suis sensible à cette dernière même si cela doit me faire passer pour un monstre (même à vos yeux, qui lisez ces lignes)

Jusqu’à la chute mon grand-père m’a donc savamment mise à l’abris à ses cotés sans grand mal étant donné mon pédigrée. Personne n’aurait voulu de moi dans le club des mangemorts par crainte d’héberger une traitre. Tant que je restais ignorante, sans faire de bruit, sans être une menace, personne ne se préoccupait de moi, et ça nous arrangeais bien, le vieux et moi-même. Comme cela était facilement envisageable, les mois suivant la fin de la guerre beaucoup de choses furent chamboulées, le monde magique subissait une purge drastique. C’est sur des institutions en reconstruction que le vieux Borgin décida de frapper un dernier coup, après avoir vaguement pleuré ses morts comme des martyrs sacrifié à la cause.

Je n’avais plus guère l’habitude qu’on me nomme Enigma tant mon surnom me collait aux semelles comme un parfum rance indécrottable. Infamy ! Pour vous, qui ne pouvez décoder ce massage autrement que grossièrement, je me dois de vous expliquer ici, ce qu’il en est lorsqu’on parvient à lire entre les lignes. Ce n’est donné à personne ici bas. Ce n’était pas seulement moi, ce n’était pas seulement pour me montrer du doigt et pousser la masse à des interprétations utiles.

Dans ce nom,
la profondeur est aussi abyssale que
la médiocrité de ce clan,
et nombreuses sont les interprétations,
toutes parfaitement voulues.


Eux, ce résidu de Borgin, je sais que mon grand père n’en n’aime aucun mais qu’il espère que je pourrais les sauver comme il le fait encore. Eux, les idiots, n’ont même pas conscience qu’a travers ce patronyme c’est eux qu’il désigne, et moi, justement nommée, comme leur berger. Qu’importe ce qui nous entoure, nous perdurerons, à travers les siècles pour peu qu’un seul d’entre nous est cette distance, cette capacité à jouer à ce jeu là sans se laisser altérer par le contexte. Je sais à présent que la pureté du sang est vraiment un cache misère à ses yeux, il est bien trop terre à terre pour plonger dans cette facilité même s’il joue très bien son rôle. D’ailleurs, notre réputation est aussi entachée lorsqu’on parle de pureté que lorsqu’on parle de nos petits travers. Détestable, parfait, sans orgueil trompeur, d’une intelligence si fine… J’ai signé ce papier, faussement honteuse, acceptant mon sort alors que j’étais déjà majeure. J’ai accepté, j’ai pris, enlacé férocement ce qu’il me donna, sans avoir même besoin d’échanger un mot de plus ou de mois que « Demain, nous irons au ministère pour changer ton nom. »

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Concrètement, dans mon cas, rien n’a vraiment changé avec le nouveau régime. J’ai continué mon chemin à ma manière. C’était ce que je désirais, pas besoin de rêves intangibles lorsque la vie est déjà bien remplie, trop remplie. Chacun peut trouver sa place, la mienne était ici, et elle l’est encore aujourd’hui. Devant l’incongruité de ma situation on estimait que j’étais malheureuse ou lobotomisée, alors que je tenais de plus en plus fermement de ma main les couilles de ceux qui me dénigraient, pour le dire vulgairement. Je n’ai jamais vraiment démenti ou affirmé les allégations à mon sujet, ce que je pense je l’ai toujours gardé pour moi.

La boutique gagna vite en popularité avec le nouveau programme enseigné à Poudlard. Il n’y avait plus besoin de se cacher pour venir faire ses petites emplettes chez Borgin&Burkes, ce qui annonçait déjà un soubresaut financier de bonne augure pour le coffre familial. Somme toute rapidement, et avec une exponentielle fréquence, des gallions de nombreuses bourses fermées jusqu’ici vinrent s’y entasser. Je gagnais par cette apparente prospérité, par mon talent pour la gestion ainsi que mes connaisses personnelles approfondies, bien plus de privilèges. Après quelques années, mes « patrons » auraient été bien mis à mal de me voir rejoindre la concurrence qui n’hésita pas, malgré mon nom, à me démarcher de façon éhonté.

Malgré ma froideur première et une certaine touche de cynisme par moment, je reste bien plus agréable et professionnelle que mes oncles. Cela m’a permis de lier connaissance avec quelques hauts employés du ministère, entre autres, au travers de transactions courantes. Ces histoires de sang purs ne sont qu’une breloque affligeante en fin de compte, la loyauté et la confiance sont des valeurs bien plus rentables lorsqu’on fait du commerce. Le bouche à oreille, le réseau, les influences ont un poids non négligeable. Voila comment j’ai écartelé doucement la brèche entrouverte pour moi par le vieux Borgin.

Ma vie a toujours été essentiellement tournée vers le travail, le devoir. Ma seule passion entrait dans le même champ d’action d’ailleurs. Je n’ai jamais eu de cesse d’être curieuse et d’entasser les connaissances dans la bibliothèque de mon esprit sur la magie noire et ses déclinaisons inattendues. J’avais tant de taches à accomplir en dehors, de la paperasse comme de brèves mondanités, où je soutenais mon grand père dès qu’il mettait un pied hors de la maison. Mon emplois du temps ne laissait fatalement peu de place à l’imprévu.

Dans ma vingtaine,
j’étais déjà une femme d’affaire cartésienne
et sans grands affects.


Dans ce contexte, je ne pensais sincèrement pas me laisser attendrir par quiconque. Pourtant, cela arriva. Cette personne était clairement considéré d’un rang social bien supérieur au mien. Son caractère et ses idées, entraperçues durant de longs mois, supposées pour certaines, étaient radicalement opposés aux miennes. Mais dans le fond, qu’aurait-il pu m’arriver ? Une union, même un flirt semblait une aberration sans avenir, et cela me rassurait presque à l’époque. Ces rencontres s’éternisèrent tout de même quelques années, chastement ou presque, dans le plus grand secret. Il n’avait rien de quelqu’un d’aventureux et de téméraire, j’étais de mon coté trop pragmatique pour que nous puissions nous laisser emporter par le courant des prémisses timides d’un amour impossible.

Dans ce même temps, je me voyais sollicitée par un courant renaissant de rébellion. Deux fois pour être exacte, déjà trop à mes yeux, je me retrouvais confrontée à leur existence par l’intermédiaire d’une transaction banale. Sans chercher à s’imposer vraiment, un émissaire essaya de me faire entendre un charabia ambiguë que je compris très bien tout en feignant de l’ignorer la première fois. L’entretien avorté ne fut pas suffisamment à leur goût semble-il. Mon refus s’avéra des plus frontal la seconde fois, ne laissant planer aucun espoir. Ce genre de combat je m’y suis toujours refusée, j’ai le mien à mener, je dois vivre pour d’autres raisons. Je ne voulais pas de ça, peu importait ce relent désagréable qui me rattachait encore à des morts. Si un nouvel ordre voulait voir le jour et renverser le régime, ils devraient se passer de moi et rester le plus loin possible de ma famille.

Les idéalistes ne m’impressionnent pas vraiment,
leurs discours n’ont jamais eu la cohérence
nécessaire pour me convaincre.


Je peux vous le dire, quand on veut quelque chose, on se bat, on accepte d’être un assassin, de perdre une partie de son âme dans la bataille. Rien n’est plus hypocrite que de rejeter la faute sur l’ennemi lorsqu’on s’est engagé de soi-même dans une bataille sans être assez solide pour y survivre après coup. Ce n’est pas donné à grand monde et sans doute faut-il avoir perdu de son humanité pour réchapper aux remords, aux rancoeurs dans un tel cas de conscience. Je suis plus témoin que partisane d’une idéologie quelconque.

Mon histoire personnelle n’a pas entaché mon jugement, elle l’a fait muter dans une sphère bien moins sentimentale. En ce temps là cependant, je le sentais s’émousser quelque peu, insidieusement, sans parvenir à me reprendre. La jeunesse, la découverte de l’interdit et d’émotions différentes bien plus douces, avaient des vertus séduisantes pour une jeune femme cloitrée dans les manigances et les calculs quotidiens depuis des années. Je touchais du doigt les belles années qui s’étaient refusées à moi jusqu’ici. Pour rien au monde je ne me serais dérobée à mon devoir, tout en laissant cependant mes pensées s’égarer plus loin que d’ordinaire.

Un évènement tragique, brutal, acheva cette période. J’attendis longtemps ce jour là, encore semi consciente du drame qui s’était joué. Ce n’est que quelques jours plus tard que la nouvelle tomba au milieu du soupé, comme une rumeur malingre qui gangrène le coeur le plus granitique. Même si cet évènement s’avérait partiellement prévisible, j’avais préféré faire l’aveugle tout ce temps, ne pas me fier aux statistiques pour changer. Je ne crois toujours qu’à demi à ces mots, à ces explications relayées par les médias sur cet assassina, mais j’ai toujours gardé le silence là dessus jusqu’ici.

Ce que j’ai ressenti après cette perte je l’ai caché, enfouie profondément sous de l’indifférence. Ce n’était pas si difficile, le deuil me raccrochait à des convictions que j’avais l’espace d’un instant affaiblies. Je ne me suis pas laissée submerger, ce n’était rien de toute façon.

Malgré tout,
s’il y a une chose que j’ai regretté,
c’est de n’avoir pu être présente
aux funérailles de cet « ami ».


Je ne sais encore si je dois saluer la clairvoyance de mon grand père ou l’en blâmer. Mon espoir résidait dans ce vieil homme, mais il préféra envoyer mon oncle pour présenter ses condoléances à sa place, et donc, à la mienne, à moi, son soutien habituel. A la froide logique, je sais que la décision était sage. J’ai tiré des enseignements de cette histoire. Cela n’a pas fait de moi quelqu’un de meilleur, cela m’a seulement rendue d’autant plus réaliste et détachée. Plus jamais je ne m’écarterais de ce chemin si ce n’est pour des raisons légitimes et matérialistes. Le drame sentimental ne me va pas tellement au teint, je laisse ça aux romanciers.

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10 ans, c’est à la fois si long, et si court. J’avais failli un moment puis j’ai redoublée d’efforts pour m’imposer, me rendre indispensable à la survie des miens, et dans cette spirale infernale, je n’avais pas vraiment le temps de regarder la date sur un calendrier. Les jours, les mois, ils se ressemblent farouchement depuis cette époque. Ca a quelque chose de confortable quand on y pense bien. Pour mes 30 ans, le vieux Borgin me confia la clé du coffre de Gringotts, partageant le flambeau de chef de famille plus ou moins officieusement. Personne n’a perdu son statu aux yeux du monde, mais tout ce petit monde doit avoir affaire avec ma personne lorsqu’il s’agit d’ouvrir la bourse.

Cela a des allures de consécration,
de victoire sur l’idiotie.


Je remonte en haut de la chaine alimentaire pour des histoires d’argent. Parlons en, d’argent, puisque notre fortune familiale et la affaires se portent au mieux en cette année 1995. Je ne me laisse pas pousser des ailes pour autant, les crabes essaient toujours de grapiller des noises mais se heurte à mon courroux, pour leur bien, notre bien à tous.

Je porte toujours ce nom, pourtant, dans leurs bouches, il a une consonance bien moins désobligeante maintenant. C’est entré dans le vocabulaire dirais-je et on a tendance à oublier l’insulte. Il a fallut 10 ans pour me faire des alliés, des ouailles. Je leur les laisse briller et ils me laissent veiller dans l’ombre, pendant que leurs antique chef de famille décline lentement. En cas de conflits, ce que je crains arrivera tôt où tard, je nous garderais à l’abris du mieux possible. Les rebelles se réveillent, ils me semblent prêts à tout aujourd’hui… Les revenants nous ont épargné jusqu’ici, pour combien de temps encore ? Je sens cette fébrilité envahir le monde, dessiner ses frontières, diviser la masse et les puissants. C’est dans ces moments là que je dois tenir bon, et ne pas me laisser engloutir.

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Dernière édition par Infamy Borgin le Mar 12 Déc - 6:57, édité 7 fois
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 0:22

OWI TOI ENFIN !!!! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1576576712 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1576576712 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1576576712 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1576576712 Bienvenuuuue, tu as succombé au pouvoir des craba- euh, du système d'apéro Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2751319572

Je t'offre mon corps. Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   715422787

Big love for you, forever. Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   441402109
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Sang : Mêlé. Ma mère était une née moldue et les Borgin ne sont pas aussi « irréprochables » qu’ils le souhaiteraient, enfin, c’est surtout pour se faire bien voir. Ce n’est pas tellement un mal de mon point du vue, même si ce n’est clairement pas mon genre de m’étendre sur le sujet. Trop de consanguinité, on sait tous que c’est très mauvais. Il n’y a pas à chercher très loin pour avoir un aperçu du concept de déliquescence inhérent au manque de sang neuf Mon petit adage personnel : « Tous cousins germains, tous crétins, par Merlin. »
Profession : Je suis une fidèle employée de Borgin & Burkes depuis la moitié de ma vie. Mes deux oncles sont officiellement les patrons, néanmoins, les clients récurants savent très bien qu’il vaut mieux s’adresser à moi directement si on veut en avoir pour son argent. Ce qu’en revanche on ne devine pas, c’est que les comptes sont gérés par mes soins exclusivement, et que l’accès au coffre ne peut se faire sans mon approbation, ma clé, ma présence. Il faut bien ça pour que ça tourne dans cette baraque.
Situation civile : Je ne suis pas une femme à marier. Si on exclus mon sang et mon nom qui n’ont rien de très glorieux à première vue, j’ai déjà des boulets accroché aux pieds. Ils commencent à avoir conscience que si je décide de les quitter pour faire ma vie ailleurs, ils ne feront que s’enfoncer d’avantage dans l’auto destruction. Je tiens la bride fermement et cela me convient très bien. Soyons franc, même si je peux me montrer charmante à mes heures, je ne suis pas quelqu’un de très sentimental. Proposez-moi mieux que ce que j’ai et peux-être que j’envisagerais de vous suivre.
Allégeance : Pour ce qui est du contexte global, je fais avec ce qu’il a sous la main. Je ne suis ni une rebelle, ni convaincue par l’idéologie de cette société. Mon allégeance va surtout à la logique, aux arts sombres, au travail, à ma famille d’imbéciles, et mon grand père, Belarphon Borgin.
Particularité : Rien de spécial si ce n'est un nom à coucher dehors et des yeux vairons.
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 0:44

ooooh, mon petit crabap... poussin en sucre !!!  Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3826086300  Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3893942807  Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3826086300
Je prends ton corps bien sur, avec du pastis et des bretzels pour le système d'apéro. Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2446070946 Invite ton frère, hein ! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   624132449
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 2:23

Bienvenue par ici!

Début de fiche qui me donne vraiment envie d'en savoir plus! Courage pour la suite
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 6:54

Bienvenue sur le forum Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2027094418
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Âge : VINGT TOIS ANS, le temps s'est arrêté pendant cinq ans pour Maebh. Portrait fantomatique d'un souvenir.
Sang : PUR, ichor royal qui ouvre les portes et sucre le monde. Gouttes cristallines qu'elle ne peut s'imaginer souiller.
Profession : SANS EMPLOI, toutes ses heures consacrées à tenter de voir revenir le contrôle de sa magie. Jour après jour, l'échec est aussi cuisant que la rancoeur.
Situation civile : SOLITUDE d'une illusion que tous regardent de loin sans toucher. Dans ses souvenirs, Maebh est encore mariée à l'amour de sa vie.
Allégeance : VOLDEMORT, c'est bien la seule chose que la mort n'a pas réussi à changer.
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 8:29

Bienvenue sur CA ! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3619201777 Hâte d'en apprendre plus sur ton personnage Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   582719158 Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff nos boites MP sont grandes ouvertes Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   441402109
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Sang : Aussi pur que possible.
Profession : Propriétaire du restaurant L'Andromeda sur le Chemin de Traverse.
Situation civile : Fiancé à Ciara Nott.
Allégeance : Mangemort jusqu'au bout des ongles. Mais fidèle à sa famille avant tout.
Particularité : Aucune.

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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 10:41

Ça ! C'est vraiment toi *nanananana* Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1339949078 ça se seeeent ça se sent que c'est toiii Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1262370825

Infamy Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2330338179 Je pense que ce nom lui sierra à ravir Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2330338179

J'ai hâte de LIRE. Déjà tu nous régale avec ce début de fiche, ça promet pour la suite Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2330338179

Bienvenue ici Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3826086300 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3826086300 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3826086300
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 10:50

Et personne d'autre Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   75217759
Bienvenue et bon courage pour ta fiche (original les yeux) Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1447796362
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 13:42

La jowlie Michelle Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1790758501
Bienvenue sur CA et tout plein de bonnes ondes pour le reste de ta fiche !
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Sang : Mêlé. Ma mère était une née moldue et les Borgin ne sont pas aussi « irréprochables » qu’ils le souhaiteraient, enfin, c’est surtout pour se faire bien voir. Ce n’est pas tellement un mal de mon point du vue, même si ce n’est clairement pas mon genre de m’étendre sur le sujet. Trop de consanguinité, on sait tous que c’est très mauvais. Il n’y a pas à chercher très loin pour avoir un aperçu du concept de déliquescence inhérent au manque de sang neuf Mon petit adage personnel : « Tous cousins germains, tous crétins, par Merlin. »
Profession : Je suis une fidèle employée de Borgin & Burkes depuis la moitié de ma vie. Mes deux oncles sont officiellement les patrons, néanmoins, les clients récurants savent très bien qu’il vaut mieux s’adresser à moi directement si on veut en avoir pour son argent. Ce qu’en revanche on ne devine pas, c’est que les comptes sont gérés par mes soins exclusivement, et que l’accès au coffre ne peut se faire sans mon approbation, ma clé, ma présence. Il faut bien ça pour que ça tourne dans cette baraque.
Situation civile : Je ne suis pas une femme à marier. Si on exclus mon sang et mon nom qui n’ont rien de très glorieux à première vue, j’ai déjà des boulets accroché aux pieds. Ils commencent à avoir conscience que si je décide de les quitter pour faire ma vie ailleurs, ils ne feront que s’enfoncer d’avantage dans l’auto destruction. Je tiens la bride fermement et cela me convient très bien. Soyons franc, même si je peux me montrer charmante à mes heures, je ne suis pas quelqu’un de très sentimental. Proposez-moi mieux que ce que j’ai et peux-être que j’envisagerais de vous suivre.
Allégeance : Pour ce qui est du contexte global, je fais avec ce qu’il a sous la main. Je ne suis ni une rebelle, ni convaincue par l’idéologie de cette société. Mon allégeance va surtout à la logique, aux arts sombres, au travail, à ma famille d’imbéciles, et mon grand père, Belarphon Borgin.
Particularité : Rien de spécial si ce n'est un nom à coucher dehors et des yeux vairons.
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 19:33

Merciiiiiiiiiiiiiiiii pour cet accueil, vous êtes tous des chouuuuux à la cwème ! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1576576712

Tourné générale de Pastis et de Bretzels ! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2931369347 C'est la maison Borgin qui offre. (Ps : profitez en bien, parce que c'est pas souvent. XD)
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Ven 8 Déc - 22:34

anlala michelle Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1339949078
bienvenue, suis fan.
puis ancienne serdaigle !
garde moi un lien ! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3826086300
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Profession : Membre à part entière du commerce familial, elle taille à la perfection la pointe des plumes Weasley. Mais sous le masque, elle est Tueuse à Gages, de ceux qui ne laissent aucune trace et n'ont nul besoin d'être présent au moment du décès pour être certain que le plan a été une réussite.
Situation civile : Papillon, elle semble voleter de riche célibataire en riche célibataire. Coeur blessé se cachant en réalité, elle n'espère ni pardon, ni guérison, ni rédemption.
Allégeance : Ordre du Phénix. Jusqu'au bout.
Particularité : Mélange quelques gouttes d'Amortentia à son parfum.

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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Sam 9 Déc - 9:07

Cet avatar Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1339949078 Ce début de fiche Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1339949078
Bienvenue, sers toi en bretzels du coup et sus à l'apéro !
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Situation civile : Le coeur de Kenya est déchiré par la disparition de son âme soeur. Seul, il se perd dans le travail et évite le plus possible toute personne entreprenante.
Allégeance : A l'Ordre, sans contexte. Il ne sera cependant pas rare de le voir bien parler de Tom Jedusor, sous le surnom qu'utilise ses adeptes bien sûr, afin de se faire bien voir et de pouvoir se faufiler dans leurs rangs. Oui, Monsieur est un espion !
Particularité : A voir

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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Sam 9 Déc - 10:29

Bienvenue parmi nous Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   75217759

Bonne écriture pour la suite de ta fichette Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1576576712
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Sang : Mêlé. Ma mère était une née moldue et les Borgin ne sont pas aussi « irréprochables » qu’ils le souhaiteraient, enfin, c’est surtout pour se faire bien voir. Ce n’est pas tellement un mal de mon point du vue, même si ce n’est clairement pas mon genre de m’étendre sur le sujet. Trop de consanguinité, on sait tous que c’est très mauvais. Il n’y a pas à chercher très loin pour avoir un aperçu du concept de déliquescence inhérent au manque de sang neuf Mon petit adage personnel : « Tous cousins germains, tous crétins, par Merlin. »
Profession : Je suis une fidèle employée de Borgin & Burkes depuis la moitié de ma vie. Mes deux oncles sont officiellement les patrons, néanmoins, les clients récurants savent très bien qu’il vaut mieux s’adresser à moi directement si on veut en avoir pour son argent. Ce qu’en revanche on ne devine pas, c’est que les comptes sont gérés par mes soins exclusivement, et que l’accès au coffre ne peut se faire sans mon approbation, ma clé, ma présence. Il faut bien ça pour que ça tourne dans cette baraque.
Situation civile : Je ne suis pas une femme à marier. Si on exclus mon sang et mon nom qui n’ont rien de très glorieux à première vue, j’ai déjà des boulets accroché aux pieds. Ils commencent à avoir conscience que si je décide de les quitter pour faire ma vie ailleurs, ils ne feront que s’enfoncer d’avantage dans l’auto destruction. Je tiens la bride fermement et cela me convient très bien. Soyons franc, même si je peux me montrer charmante à mes heures, je ne suis pas quelqu’un de très sentimental. Proposez-moi mieux que ce que j’ai et peux-être que j’envisagerais de vous suivre.
Allégeance : Pour ce qui est du contexte global, je fais avec ce qu’il a sous la main. Je ne suis ni une rebelle, ni convaincue par l’idéologie de cette société. Mon allégeance va surtout à la logique, aux arts sombres, au travail, à ma famille d’imbéciles, et mon grand père, Belarphon Borgin.
Particularité : Rien de spécial si ce n'est un nom à coucher dehors et des yeux vairons.
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Sam 9 Déc - 10:48

Meeeeerciiiiiiiiii vous trois! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1020972589 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1020972589 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1020972589

Bien sur Meg pour un lien. J’ai envie de dire, Serdaigle POWER ! Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2751319572

*Plonge la main jusqu’au coude dans le sac de bretzels* Je prends des force, pour finir ma fiche. Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2732708772
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Âge : 28 ANS, qu'il vit, 3 ans qu'il survit. Ses jours sont limités, et il s'assure de ne pas perdre le compte. (24.03.1968)
Sang : PUR, il ne pourrait en être autrement. C'est la pureté qui se doit de reigner, la pureté qui se doit de vaincre.
Profession : BRISEUR DE SORTS, perdu au sein du commerce familial, il se laisse porter par le danger, par les découvertes, par la magie. BOURREAU, on se rend utile, on aide le Seigneur, on part à la recherche de nouveaux moyen de tuer, souriant.
Situation civile : FIANCÉ, promis à sa meilleure amie, promis à celle qui lui a sauvé la vie. Relation silencieusement ouverte, relation silencieusement libre. Ils vont aimer autrui avant de revenir s'aimer l'un l'autre.
Allégeance : VOLDEMORT, le grand. Et pourtant, le serpent marqué doute. Il doute parce que le Lord ne veut plus de lui. Il doute parce qu'autrui s'est appliqué à laisser des doutres naître au sein de l'esprit brisé. Il doute parce qu'il est presque AVERY.
Particularité : SÉROPOSITIF, il sait que la mort l'attend, patiente.

Inventaire
Disponibilité: Oui
Dés de compétence:
Adrastos Lestrange



Adrastos Lestrange
for blood destroys life
for blood destroys life


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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Mar 12 Déc - 11:52

Félicitations !
Bienvenu.e sur CM !


Ce qu'on a pensé de ta fiche
Un bon roman comme on aime bien Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3012312062
Quel personnage intéressant ! Et puis cette fiche se lit d'une traite en plus, c'est fort beau Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   462209679 Curieuse de pouvoir voir Infamy se la jouer bg sur le forum également Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   4002819895

Bienvenuuuuuue Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   3619201777
Et maintenant ?
Maintenant que ton personnage est officiellement validé, il ne te reste plus que quelques petites étapes avant de pouvoir commencer le jeu sur le forum ! Tout d'abord, il faut venir recenser ton personnage dans les registres (+). Tu peux également ensuite créer ta fiche de liens afin de pouvoir trouver toutes sortes de relations toutes plus dingues les unes que les autres à ton personnage (+).

Une fois que tu commence à RP, n'oublie pas recenser ton premier RP de chaque mois (+). Au fil de ton temps sur le forum, n'oublie pas de garder en tête le système de points (+) qui te permettra d'obtenir des récompenses et d'offrir un avantage à ton camp.

Si tu fondes l'une des familles de sang-purs libres à la création il est obligatoire de créer ta fiche de famille (+). Tu peux également le faire si tu désires fonder ta propre famille de sang-mêlé, mais cette étape n'est obligatoire que dans le cas des 5 familles de sang-pur dont l'histoire est laissée libre.

Quelques petites étapes toutes simples donc ! Et la dernière, la plus importante de toutes : HAVE FUN.
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Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   Obuh
Âge : 34 ans
Sang : Mêlé. Ma mère était une née moldue et les Borgin ne sont pas aussi « irréprochables » qu’ils le souhaiteraient, enfin, c’est surtout pour se faire bien voir. Ce n’est pas tellement un mal de mon point du vue, même si ce n’est clairement pas mon genre de m’étendre sur le sujet. Trop de consanguinité, on sait tous que c’est très mauvais. Il n’y a pas à chercher très loin pour avoir un aperçu du concept de déliquescence inhérent au manque de sang neuf Mon petit adage personnel : « Tous cousins germains, tous crétins, par Merlin. »
Profession : Je suis une fidèle employée de Borgin & Burkes depuis la moitié de ma vie. Mes deux oncles sont officiellement les patrons, néanmoins, les clients récurants savent très bien qu’il vaut mieux s’adresser à moi directement si on veut en avoir pour son argent. Ce qu’en revanche on ne devine pas, c’est que les comptes sont gérés par mes soins exclusivement, et que l’accès au coffre ne peut se faire sans mon approbation, ma clé, ma présence. Il faut bien ça pour que ça tourne dans cette baraque.
Situation civile : Je ne suis pas une femme à marier. Si on exclus mon sang et mon nom qui n’ont rien de très glorieux à première vue, j’ai déjà des boulets accroché aux pieds. Ils commencent à avoir conscience que si je décide de les quitter pour faire ma vie ailleurs, ils ne feront que s’enfoncer d’avantage dans l’auto destruction. Je tiens la bride fermement et cela me convient très bien. Soyons franc, même si je peux me montrer charmante à mes heures, je ne suis pas quelqu’un de très sentimental. Proposez-moi mieux que ce que j’ai et peux-être que j’envisagerais de vous suivre.
Allégeance : Pour ce qui est du contexte global, je fais avec ce qu’il a sous la main. Je ne suis ni une rebelle, ni convaincue par l’idéologie de cette société. Mon allégeance va surtout à la logique, aux arts sombres, au travail, à ma famille d’imbéciles, et mon grand père, Belarphon Borgin.
Particularité : Rien de spécial si ce n'est un nom à coucher dehors et des yeux vairons.
Infamy Borgin



Infamy Borgin
imperio - sorcier
imperio - sorcier


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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    Mar 12 Déc - 12:52

Merciiiiiiii !Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   582719158 Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   2732366567  Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut   1790758501
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Sujet: Re: Infamy Borgin - ma déchéance sera mon salut    

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