daily prophet

La Coupe de Quidditch britanique touche à sa fin. Les Hollyhead Harpies sortent vainqueurs du tournoi et la fête bat son plein. La rebellion, elle, murmure (+).
Les tensions montent alors qu'un nouveau revenant est enfermé à Azkaban pour le meurtre "accidentel" de sa fiancée.
Teatime with the Queen : Buckinghamshire est voté le county préféré des sorciers immigrants.



 

-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous


Invité
Invité


everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy) Empty
Message
Sujet: everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy)   Dim 10 Déc - 1:49


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
everybody was well dressed and everybody was a mess
( Perseus & lavinia )

"Petit comité. "

Parce que c’est une notion que l’élite sorcière connaît ça, peut-être ?

Lavinia, les soirées mondaines à rallonge, celles où les hommes s’enferment dans le fumoir tout en sachant qu’ils finiront par cracher un poumons ou deux, où les femmes enchaînent discrètement, mais sûrement, les coupes de champagne leur faisant monter le feu aux joues, elle connaît.

Elle connaît quand c’est grand, quand c’est démesuré (ils connaissent tous, d’ailleurs). Tout le monde aime ça, tout le monde en redemande, encore et encore, qu’importe la résultante finale. Tout le monde en parle des semaines en avance, tout le monde continue à en parler des semaines entières après. Ils aiment ça, quand le champagne coule à flot, que les cigares enfument la salle de réception, quand le banquet pourrait nourrir tout le Londres démuni. Et s’il y a une petite surprise, demande en fiançailles ou dérapage nocturne qu’on passera aisément sous silence, c’est encore mieux. C’est encore plus palpitant, revigorant – on rit à gorge déployée, toujours, s’enfonçant dans le tableau idyllique d’offrent les faux-semblants d’une soirée passée entre personnes importantes. On applaudit, parfois. Et on médit, souvent. Qu’importe, tant que ça marque les esprits. Ils pourraient presque en oublier la guerre qui s’enlise, qui torture les âmes et esprits de ces messieurs et dames vêtus de leurs paruresarmuresdéguisements, qu’ils portent l’espace d’une courte soirée.

Bref.

Quand on lui parle de " petit comité ", Lavinia tique aussitôt. Elle rechigne légèrement, plaide qu’elle n’a pas le temps quand elle n’en a tout simplement pas l’envie. On parade pas, en " petit comité ", y’a pas assez de personnes pour pouvoir masquer sa véritable nature – tout le monde se connaît, c’est presque usant. Non pas que les soirées mondaines soient si différentes à ce niveau, maintenant qu’elle y réfléchit : ces vieux consanguins se connaissent tous entre eux, alors au final, grand ou petit nombre d’invités, quelle différence ?

Y’en a pas, voilà tout.

Et Lavinia se retrouve à la grande table qu’on dit dressée " simplement ", quand tout le monde sait qu’il n’y a jamais rien de simple au sein de l’élite. Elle sourit à son voisin de gauche, hoche la tête quand la personne face à elle prend la parole, même si elle n’entend pas la moitié de ses dires. Ou peut-être qu’elle a tout simplement arrêté de l’écouter dès l’instant où le troisième mot s’est aligné à la suite des deux autres. Quelle importance ? Elle n’apprécie ni l’un, ni l’autre, de toute façon. Faut dire qu’elle n’est pas la personne la plus sociable autour de la table – elle comprend pas pourquoi on s’évertue encore à l’inviter à ce genre de soirées, c’en est désarmant.

« Lav ? »

Elle pivote légèrement vers la droite, pose son regard sur l’hôte. « Mmh ? » C’est que de l’autre côté, y’a l’énergumène qui émet l’idée d’épouser une cousine éloignée, parce que " c’est plus sûr de la sorte. ", alors, elle a un peu de mal à se concentrer sur autre chose. Pourtant, son regard finit par se poser sur la silhouette qui se dessine derrière Georges. « Vous vous connaissez tous les deux, si je ne m’abuse ? » Oh, mais bien entendu. « J’ai pris la liberté de vous installer l’un à côté de l’autre, j’espère que ça ne vous dérange pas ? » Lavinia pose aussitôt le menton sur son poing fermé, soutenant sa tête qui se fait soudainement un peu trop lourde. P’t’être qu’elle a enchaîné les verres de champagne un peu trop vite. Et en face, on s’enjoue sur l’idée de bientôt avoir à décapiter l’elfe de maison de la famille. Génial. « Perseus Black », se contente-t-elle de répondre en lui adressant un grand sourire. La seule chose qu’elle a envie de faire, c’est se tirer de ce manoir. « Exact, nos chemins se sont croisés à Poudlard. » Elle marque une légère pause et rajoute, un peu trop enjouée : « quelle belle époque ! N’est-ce pas ? » Elle donne un léger coup de coude à son voisin, avec l’espoir qu’il arrête de parler de sa cousine. Peut-être que c’est la consanguinité dont il est lui-même victime qui le rend si idiot. « J’en suis parfois un peu nostalgique. » Pas sûre que Perseus le soit, lui. Mais elle s’en fiche un peu, il n’a jamais été qu’un abruti. Un abruti qu’elle a parfois craint, faut bien l’avouer, mais elle chasse cette idée bien loin, l’esprit un tantinet embrumé. Faut qu’elle cesse de boire, mais les verres se remplissent aussitôt vidés, alors c’est pas aisé.

code by belle âme
Revenir en haut Aller en bas
Messages : 278
Gallions : 294
Avatar : Aaron Paul
everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy) Tumblr_n0rcd5d7691rhdn0so7_250
Âge : Tout juste vingt-six ans.
Sang : Aussi pur que possible.
Profession : Propriétaire du restaurant L'Andromeda sur le Chemin de Traverse.
Situation civile : Fiancé à Ciara Nott.
Allégeance : Mangemort jusqu'au bout des ongles. Mais fidèle à sa famille avant tout.
Particularité : Aucune.

Inventaire
Disponibilité:
Dés de compétence:
Perseus Black



Perseus Black
morsmordre - sorcier
morsmordre - sorcier


everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy) Empty
Message
Sujet: Re: everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy)   Sam 16 Déc - 20:10

everybody was well dressed, and everyobody was a mess
lavinia et perseus


Les repas mondains, ça le connaît. Certains les s'en délectent, certains les abhorrent, mais pour Perseus il s'agit d'une habitude plus qu'autre chose. En tant que Black, il a assisté à ces repas depuis son plus jeune âge, observant ses parents parader en société comme en famille, dans des banquets luxueux comme dans des simple réunions entre amis ou partenaires. Il a appris des meilleurs et a appris sans même s'en rendre compte, reproduisant les schémas établis, imitant ses parents et ses cousins, sans jamais imaginer que ces événements puissent paraître complètement irrationnels et factices aux yeux de la société. C'est normal, c'est habituel, et quand Perseus est invité chez Georges pour l'une de ses petites soirées entre amis, il accepte bien volontiers de s'y rendre. Ces repas sont toujours agréables, bien que minimalistes, et sont de formidables occasions pour tisser des liens avec les autres invités. Là où des réceptions plus imposantes impliquent inévitablement des conversations hâtives au gré des allées et venues des invités, les petits comités permettent de vraies discussions... et Perseus sait à quel point les relations sont primordiales dans leur monde. Surtout quand on s'appelle Black, et qu'on a une réputation à tenir.
Il sera en retard, bien évidemment. C'est une autre de ces règles sociétales qui veut que les sorciers les plus importants ne se présentent jamais à l'heure. Ils doivent se faire désirer, en tout cas c'est ce que Dagan leur disait, à Pandore et lui. Perseus n'aurait pas été à l'heure de toute manière, car il tenait à assurer au moins un service au restaurant avant de fermer – l'argent ne tombe pas du ciel, malheureusement. Mais il n'aura aucune excuse à présenter à son hôte à son arrivée, simplement un grand sourire, une tenue clinquante et impeccable et cet air pressé des gens qui sont trop occupés. Le tout accompagné d'une tape amicale sur l'épaule et de son habituel engouement viendront parfaire le tableau, lui assurant une entrée remarquée et qui ne laisserait personne de glace – non pas que Perseus calcule ses entrées précisément, tout cela est simplement ce qu'il a toujours appris à faire. Et ça marche, en général. Ce soir encore, lorsque Perseus entre dans le manoir, il est reçu avec entrain. On ne t'attendait plus, on se demandait si tu allais venir, ah, tiens, justement on parlait de toi ! Des rires, le bruit des conversations qui sont déjà bien lancées. Il échange avec Georges quelques banalités et remarques sur la décoration puis entre dans la salle à manger où une longue table est dressée. Les invités sont déjà installés, et les verres se vident avec frénésie. Perseus salue les convives et n'est pas surpris de ne voir aucune tête inconnue – il avait bien dit petit comité. Il échange quelques mots avec certains d'entre eux et reste debout quelques minutes à discuter de la pluie et du beau temps avec sa cousine de la famille Mulciber, pendant que Georges lui tend une coupe de champagne. Leur hôte laisse entendre que le repas sera bien tôt servi et Perseus prend congé de sa cousine, avec la promesse de discuter plus tard dans la soirée. Il suit Georges qui le dirige vers sa place, apparemment assez content de son choix. Son sourire perd toute saveur et sincérité lorsque que ses yeux se posent sur sa voisine désignée : cette chère Lavinia Prewett, dans toute sa splendeur misérable. « Perseus Black. Exact, nos chemins se sont croisés à Poudlard. » Le sourire ravi qu'elle lui adresse lui fait grincer les dents, mais il se contente de l'imiter, choisissant de garder son cynisme pour lui. La jeune femme continue de fanfaronner, et Perseus se retient de ne pas lever les yeux au ciel. « Quelle belle époque ! N’est-ce pas ? J’en suis parfois un peu nostalgique. » Il laisse échapper un rire étranglé, n'ayant pas réussi à le retenir. Ah oui, l'époque où tu insultais ma famille et où j'écrasais mes poings sur la face de ton impur de petit copain ? Perseus n'a jamais été bon menteur, mais elle c'est une excellente comédienne, il ne peut lui enlever ça. Et s'il ne l'avait pas connue, il y a de grandes chance pour qu'il se soit fait endormir comme pas mal des invités assis à table à ses côtés. « Je n'en doute pas. C'est parfait, merci Georges, » dit-il simplement, puis Georges s'éloigne d'eux pour lancer les festivités, l'air très content de lui. A peine a-t-il le dos tourné que Perseus perd son sourire, levant un sourcil presque dédaigneux en direction de Lavinia. Il prend place à sa droite, tout se suite moins enthousiaste à l'idée de passer la soirée assis en sa compagnie. Il s'installe au fond de sa chaise, les jambes écartées, sort la serviette du dessous de son assiette pour la poser sur sa cuisse. Il ne pose pas sa coupe de champagne et décide plutôt de la finir aussi vite que possible. A la gauche de sa voisine, l'un de ces sang-mêlés qui se rêve pur, la tête et l'ego gonflés par la soi-disant confiance du seigneur des ténèbres. Le coup de coude de Prewett à l'évocation du bon vieux temps semble lui avoir donné envie de soudainement raconter les pauvres moments de gloire de sa carrière à l'école – bien joué, Prewett. Tu t'es coincée toute seule. Perseus lui jette un coup d’œil : les joues rosies, elle semble avoir la tête un peu lourde. Sa coupe de champagne est à moitié vide et cela ne doit certainement pas être sa première, au vu de l'heure. Il faut dire que Perseus est arrivé vraiment en retard. Les autres ont eu au moins une bonne demi-heure pour commencer. Il salue ses autres voisins, des habitués de ces petites soirées, mais malgré les banalités qu'ils échangent, son cerveau n'arrive pas vraiment à se concentrer sur la conversation, laissant une oreille traîner à sa gauche. Au bout de quelques minutes, les conversations sont interrompues par Georges qui prend place en bout de table, annonçant le repas. Des Aaaaaah ! de satisfactions s'élèvent ainsi que quelques applaudissement enjoués et des gloussements alcoolisés. Les elfes s'affairent et les entrées sont amenées à table : le foie gras et ses toasts triangulaires, accompagnés d'une salade verte assaisonnée avec des grains de raisins confits. Chacun se réjouit et les discussions sont relancées, les cartes redistribuées. Perseus ne résiste plus. Il faut qu'il l'ouvre, inutile de l'ignorer alors qu'il a envie de la toaster elle aussi. « Poudlard, tu parles. Si l'un d'eux t'avait vraiment connue à Poudlard, tu n'aurais même pas mis un pied dans cette pièce. » Il ne parle pas fort, mais il ne chuchote pas non plus. De toutes façons, ces repas ont un niveau sonore tel que personne ne les entendrait, à moins de le vouloir vraiment. « T'es vraiment douée quand même. T'as jamais songé à devenir comédienne ? Tu aurais pu aller loin dans le métier. » Il prend une bouchée de salade, sans la couper. Il a appris à la plier, au fil des années, tout comme à se tenir à table. Il remercie régulièrement sa mère pour sa ténacité à lui inculquer les bonnes manières car ces leçons se sont révélées précieuses dans son métier. L’assaisonnement lui plaît, un peu fruité ce qui est un bon mariage pour aller avec le foie gras. Ce n'est pas incroyable, il en fait des meilleurs, mais l'effort est appréciable. Lavinia Prewett. Quelles étaient les chances pour qu'il se retrouve assis à côté d'elle, quand même ? Mais bon maintenant que c'est fait, Perseus se dit que c'est l'occasion d'essayer de lui tirer les vers du nez... ou tout du moins de ne pas lui faire de cadeaux.

made by black arrow
Revenir en haut Aller en bas
https://cistem-aperio.forumsrpg.com/t271-they-said-life-was-toug
 
everybody was well dressed, and everybody was a mess. (percy)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Don't you want me (Percy & Romy)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
CISTEM APERIO :: RP archivés-
Sauter vers: